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Les grands sujets de la Bible
F. Gfeller

Plusieurs cas de surrection sont mentionnés dans l’Écriture, qui tous concernent des personnes ramees à une vie marielle, temporaire. Ils n’ont é qu’une monstration de la puissance de vie qui est en Dieu. Mais sortir de la mort pour ne plus y retourner et ne plus être assujetti aux contingences de l’existence terrestre, c’est cela la vraie surrection. Nul n’y a eu part avant notre cher Sauveur. Il fallait « qu’en toutes choses il tienne, lui, la première place » (Colossiens 1. 18). C’est par sa mort qu’il a triomphé de son prince, par sa mort qu’il a investi cette forteresse inexpugnable et qu’il ena empor les clefs. « Moi, je suis le premier et le dernier, et le vivant ; et j’ai é mort ; et voici, je suis vivant aux siècles des siècles ; et je tiens les clefs de la mort et du has » (Apocalypse 1. 17-18). La surrection de notre Sauveur est la monstration éclatante de sa victoire sur Satan et sur la puissance du ché. Rien d’étonnant donc à ce que le diable fasse tous sesefforts pour nier cette ri. Mais elle est la clef de voûte de l’Évangile, comme elle enest aussi le fondement.

Des preuves nombreuses et irréfutables ont é fournies qui moignent de la surrection de sus. Le tombeau vide, le moignage des femmes qui y sont allées, celui desatres qui ont vu leur Maître à plusieurs reprises, le moignage me des gardes aches à prix d’argent pour divulguer un grossier mensonge, tous concordent pour affirmer avec la Parole : « Maintenant Christ a é ressusci d’entre les morts, prémices de ceux qui sont endormis » (Corinthiens 15. 20).