La consolation est en Christ (Philippiens 2. 1), comme aussi l’espérance, réalité lumineuse et certaine. Paul écrit : Jésus Christ, notre espérance (1 Timothée 1. 1). Non seulement notre espérance est en lui, mais lui-même est notre espérance. La victoire de Jésus, remportée à la croix sur les puissances du mal et de la mort, puis manifestée par sa résurrection, est le fondement et la garantie de l’espérance et de la consolation chrétienne.
La force et la beauté du message chrétien, c’est de proclamer que la mort n’aura pas le dernier mot. Elle est déjà vaincue par Jésus. Quand un vrai chrétien meurt, c’est pour être lui-même auprès de son Seigneur, alors que son corps attend la résurrection. Lorsque nous mettons au tombeau le corps d’un bien-aimé croyant, c’est comme si nous déposions une semence dans la terre (1 Corinthiens 15. 38, 42). À la voix du Seigneur Jésus, ce corps sera ressuscité, glorieux, hors d’atteinte du péché et de la mort.
Amis chrétiens, maintenant en vie, « nous ne nous endormirons pas tous, mais nous serons tous changés » (1 Corinthiens 15. 51) par la même puissance de la résurrection, pour être avec Christ dans un corps glorieux, semblable au sien.