La mort…, la fin de l’homme sur la terre, la séparation définitive de tout ce qui le lie à la terre et aux siens. Pour celui qui est encore dans ses péchés, elle est véritablement le roi des terreurs (Job 18. 14), car après la mort vient le jugement (Hébreux 9. 27, 28). C’est bien elle qui fait verser sur la terre le plus de larmes. Dieu le sait. Toutefois, le chrétien n’est pas affligé « comme les autres qui n’ont pas d’espérance » (1 Thessaloniciens 4. 13).
Devant la perspective de sa propre mort, Ézéchias prie Dieu et verse beaucoup de larmes. Dieu lui répond, le guérit et se révèle à lui d’une manière nouvelle. Ézéchias apprend en effet quatre choses essentielles :
Comme il l’a fait pour Ézéchias, Dieu veut éclairer notre vie de sa lumière. Elle nous sonde. Ézéchias pensait avoir marché devant Dieu d’un cœur parfait (2 Rois 20. 3), il faudra qu’il apprenne à dire : « Tu as jeté tous mes péchés derrière ton dos » (Ésaïe 38. 17). Laissons la lumière divine pénétrer notre conscience, c’est la lumière de la vie (Jean 8. 12).