Il y a plusieurs situations où les larmes témoignent d’un changement, d’un renouveau.
La première de ces situations est la repentance qui conduit à la vie (Actes 11. 18) 1.
Si, lors de notre conversion, nous avons senti nos péchés peser sur notre conscience, nous avons pleuré, nous nous sommes confiés en Dieu ; voilà l’attitude qui convenait devant lui. Pleurer devant notre impuissance à pouvoir faire face à nos fautes… pleurer devant les conséquences ineffaçables par les hommes. C’est ce qu’a fait la femme au vase d’albâtre et ce qu’ont fait tous ceux qui, comme elle, ont entendu : « Tes péchés sont pardonnés » (Luc 7).
Chrétiens, si nous nous sommes éloignés de Dieu, les larmes surgissent quand nous prenons conscience que nous avons péché. Larmes de Pierre après avoir renié Jésus, son Seigneur qu’il aimait. Larmes amères, brûlantes, expression de la douleur dans la confession d’avoir déshonoré Dieu et méconnu son amour. Elles annoncent un relèvement, un nouveau départ, dont la repentance et la confession sont les premières étapes. 2