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Le troisième livre de Moïse dit le Lévitique
Sondez les Écritures - 3e année

Lévitique 13

L’impureté et son remède

Introduction aux chapitres 13 à 15

Trois chapitres complètent les enseignements sur l’impureté individuelle, que ce soient des maladies de peau appelées “lèpres” 1 (chapitre 13 et 14) ou des impuretés corporelles chez l’homme ou la femme (chapitre 15). Ces chapitres s’ordonnent en quatre séquences :

  • 1. Les “lèpres” chez l’homme (13. 1-46) et sur ses vêtements (13. 47-59) ; diagnostic et traitement,
  • 2. La purification après la guérison d’une lèpre (14. 1-32),
  • 3. Les “lèpres” dans les maisons ; diagnostic et traitement (14. 33-57),
  • 4. Les flux impurs (15. 1-33).

3. Les impuretés des lèpres

La lèpre chez l’homme : versets 1-46

Cette section présente une approche de la maladie selon un modèle répétitif :

  • 1. les symptômes : “si un homme a ; s’il y a une plaie de… ; si la chair a… ; si un homme ou une femme…” (versets 1, 4, 7, 9…),
  • 2. l’examen du sacrificateur (versets 3, 5, 7b…),
  • 3. les critères du diagnostic et l’attente possible (versets 5, 26, 33),
  • 4. le diagnostic conduisant à la déclaration éventuelle d’impureté (versets 45, 46).

Il s’agit en effet de bien distinguer entre une “lèpre” qui contient de l’impureté et une maladie bénigne qui ne souille pas. L’Israélite qui soupçonnait une maladie de peau devait se montrer au sacrificateur, seul compétent pour affirmer la présence ou l’absence de lèpre.

Le caractère évolutif de la maladie et ses manifestations orientent le diagnostic :

  • la décoloration du poil (versets 3, 10, 20, 25, 30, 31),
  • l’étendue et la profondeur de la plaie (versets 3, 12, 15, 20, 25, 30),
  • la durée et la récidive du mal (versets 4, 26, 33, 50, 55).

Parfois, il faut encore isoler le malade avant de procéder à un nouvel examen.

La “lèpre” est donc l’image du péché qui conduit à la mort. Ici, il agit dans un homme du peuple et il le prive de sa relation avec l’Éternel.

La maladie se présente sous diverses formes :

  • 1. une tumeur (symbole probable de l’orgueil) (versets 2, 10),
  • 2. une dartre, sorte de croûte qui recouvre une plaie ancienne, ou d’ulcère (image de l’amertume, de l’absence de pardon envers autrui qui ronge l’être intérieur) (versets 2, 6-8, 18),
  • 3. une tache blanchâtre ou luisante (qui rappelle la séduction du péché) (verset 4),
  • 4. d’autres formes, comme la brûlure (atteinte extérieure), la teigne gagnant la tête (siège des pensées) ou la barbe (symbole de la force et de la gloire de l’homme) Psaume 133. 2.

Ainsi, sous toutes ses formes, l’activité du péché est dévoilée, mais lorsqu’il s’agit d’imperfections liées à la vieillesse (la calvitie, verset 40), il n’est pas nécessaire de voir le sacrificateur.

On voit donc la différence que fait l’Écriture entre l’activité du péché en nous (source d’impuretés) et la présence inévitable du péché en nous (qui, elle, ne souille pas). Pour éviter cette activité du péché en nous, il faut, par la foi, réaliser notre mort au péché par l’identification à Christ, ayant “crucifié la chair et les passions” Galates 5. 24 ; nous devons porter la mort de Jésus en nous-mêmes2 Corinthiens 4. 10, en portant chaque jour notre croixLuc 9. 23, c’est-à-dire en renonçant à nous-mêmes.

Conduite à l’égard du lépreux

Lorsque la “lèpre” a été découverte, la conduite prescrite est appliquée (versets 45, 46). Impur, le malade doit vivre hors du campNombres 5. 1-4 ; Deutéronome 23. 11. Cette exclusion rappelle celle du jardin d’Éden (le lieu de délices où Dieu rencontrait l’homme). Le péché produit ici les mêmes effets : perte pour l’Israélite des privilèges liés à son identité. Il se retrouvait hors du camp comme ceux des nations et ceux qui sont impurs.

Être placé hors du camp, signifiait aussi être privé des bénédictions de l’alliance. L’Israélite était considéré comme un païen : il habitait seul, c’est-à-dire en dehors de toute relation avec le peuple de DieuNombres 12. 14, 15 ; 2 Rois 7. 3. C’est aussi pour cette raison que l’Israélite lépreux est souvent une image de l’homme pécheur, loin de Dieu, dégradé par la souillure. On peut mesurer, en le voyant, ce que le péché a introduit dans la création de Dieu comme impuretés, déviations morales qui conduisent à la mort physique et spirituelle.

Le lépreux devait aussi découvrir sa tête. L’homme conscient d’avoir péché cherche à fuir le regard de Dieu ou de ses semblables en se couvrantGenèse 3. 10 ; Nombres 5. 13, 18. Mais il devait couvrir sa barbe et crier : “impur !” La bouche couverte devait éviter toute contamination avec le prochain, le cri impur était l’avertissement douloureux de celui qui se trouvait exclu de la présence de Dieu (le camp), hors de tout secours humain, et incapable de se purifier lui-même. Tout devait être fait pour lui. Sa seule ressource était le sacrificateur, image de Jésus Christ.

L’homme entièrement lépreux déclaré pur : verset 13

Un détail remarquable annonce la possibilité de guérir : “la lèpre a couvert toute sa chair ; alors il (le sacrificateur) déclarera pur celui qui a la plaie” (verset 13). Couvert des pieds à la tête, le lépreux doit reconnaître qu’il n’y a en lui aucun bienÉsaïe 1. 5, 6 ; Romains 7. 18. Il pourrait dire, à l’image du fils prodigue de la paraboleLuc 15. 21 : “J’ai péché, je ne suis plus digne d’être en relation avec l’Éternel”.

Ayant reconnu son état, le lépreux attendait tout du sacrificateur dont le rôle était alors déterminant. Ce dernier remplit son service dans le sanctuaire (14. 11, 12, 16, 18, 23, 24, 27, 29, 31). Il sait mieux que quiconque ce qui est compatible avec la présence de l’Éternel. Guidé par la parole de l’Éternel, il fait un diagnostic minutieux de la maladie et n’agit ni à la légère, ni par ouï-dire (noter la fréquence du mot “verra”), ni avec précipitation (versets 5, 6, 21, 26, 31, 50, 54). La vigilance et la grâce étaient les garanties d’un diagnostic juste. Le sacrificateur n’excluait pas pour un motif futile, mais il veillait jalousement à ce que l’impureté dévoilée soit immédiatement éloignée.

L’enseignement pour le chrétien

L’homme entièrement blanc et lèpre, mais déclaré pur, est l’image d’un croyant qui se reconnaît entièrement pécheur à la suite d’une faute grave et prolongée, et qui ne cherche pas à dissimuler son état. C’est alors le chemin direct pour un rétablissement complet (verset 17).

Le bannissement hors du camp peut correspondre à la sanction que l’église locale est appelée à exercer en cas de conduite dépravée ou de fausse doctrine1 Corinthiens 5. 4-8. Par la suite, il reviendra à un ou plusieurs frères ayant du discernement spirituel, de revoir le croyant pour s’enquérir si le rétablissement a eu lieu (verset 37). C’est le travail délicat, mais si utile du sacrificateur, pour préparer l’assemblée à ratifier son amour envers le coupable repenti.

La lèpre sur les vêtements : verset 47. 47-59

Sur les habits, l’infection provoque des effets identiques à ceux diagnostiqués sur le malade : des colorations anormales qui changent l’aspect habituel du vêtement. L’examen du sacrificateur conduit, selon le cas, à brûler le vêtement (renoncement absolu à des habitudes de vie), ou à le laver (action de la parole de Dieu, symbolisée par l’eau). Dans ce dernier cas, il convient d’attendre encore pour s’assurer du plein effet du lavage.

Notes

1

Le mot “lèpre” est un terme très général qui désigne, soit un ensemble de maladies de peau évolutives, soit, quand il est question de lèpre dans les maisons comme au chapitre 14, un champignon du type “mérule pleureuse”. Il est difficile d’identifier toutes ces affections avec des maladies actuelles. D’abord, parce que ces textes n’ont pas été donnés pour diagnostiquer une réalité médicale ou biologique, mais pour leur signification morale : “distinguer le pur de l’impur”. Ensuite, on peut penser que des maladies ont évolué au cours de l’histoire, et qu’il a pu exister des formes qui ont disparu de nos jours. Il est aussi possible que certaines maladies aient été plus contagieuses autrefois parce que la population était mal nourrie et peu immunisée.

La lèpre proprement dite, appelée maladie de Hansen paraît attestée au Proche-Orient, dans les symptômes actuels, à partir du quatrième siècle avant Jésus Christ. Dans le texte du Lévitique, aucun symptôme ne décrit le “faciès léonin” si caractéristique de la maladie hansénienne.

Lévitique 13

1Et l’Éternel parla à Moïse et à Aaron, disant : 2Si un homme a dans la peau de sa chair une tumeur, ou une dartre, ou une tache blanchâtre, et qu’elle soit devenue, dans la peau de sa chair, une plaie [comme] de lèpre, on l’amènera à Aaron, le sacrificateur, ou à l’un de ses fils, les sacrificateurs ; 3et le sacrificateur verra la plaie qui est dans la peau de sa chair ; et si le poil dans la plaie est devenu blanc, et si la plaie paraît plus enfoncée que la peau de sa chair, c’est une plaie de lèpre ; et le sacrificateur le verra, et le déclarera impur. 4Et si la tachea dans la peau de sa chair est blanche, et si elle ne paraît pas plus enfoncée que la peau, et si le poil n’est pas devenu blanc, le sacrificateur fera enfermer pendant sept jours [celui qui a] la plaie ; 5et le sacrificateur le verra le septième jour : et voici, la plaie est demeurée à ses yeux au même état, la plaie ne s’est pas étendue dans la peau ; alors le sacrificateur le fera enfermer pendant sept autres jours. 6Et le sacrificateur le verra pour la seconde fois, le septième jour : et voici, la plaie s’efface, et la plaie ne s’est pas étendue dans la peau ; alors le sacrificateur le déclarera pur : c’est une dartre ; et il lavera ses vêtements, et sera pur. 7Mais si la dartre s’est beaucoup étendue dans la peau, après qu’il aura été vu par le sacrificateur pour sa purification, il sera vu une seconde fois par le sacrificateur ; 8et le sacrificateur le regardera : et voici, la dartre s’est étendue dans la peau ; alors le sacrificateur le déclarera impur : c’est une lèpre.

9S’il y a une plaie [comme] de lèpre dans un homme, on l’amènera au sacrificateur, 10et le sacrificateur le verra : et voici, il y a une tumeur blanche dans la peau, et elle a fait devenir blanc le poil, et il y a une trace de chair vive dans la tumeur, 11– c’est une lèpre invétérée dans la peau de sa chair ; alors le sacrificateur le déclarera impur ; il ne le fera pas enfermer, car il est impur. 12Et si la lèpre fait éruption sur la peau, et que la lèpre couvre toute la peau de [celui qui a] la plaie, de la tête aux pieds, autant qu’en pourra voir le sacrificateur, 13le sacrificateur le verra : et voici, la lèpre a couvert toute sa chair ; alors il déclarera pur [celui qui a] la plaie : il est tout entier devenu blanc ; il est pur. 14Et le jour où l’on verra en lui de la chair vive, il sera impur. 15Et le sacrificateur regardera la chair vive, et le déclarera impur : la chair vive est impure, c’est de la lèpre. 16Mais si la chair vive change et devient blanche, il viendra vers le sacrificateur ; 17et le sacrificateur le verra : et voici, la plaie est devenue blanche ; alors le sacrificateur déclarera pur [celui qui a] la plaie : il est pur.

18Et si la chair a eu dans sa peau un ulcère, et qu’il soit guéri, 19et qu’il y ait, à l’endroit de l’ulcère, une tumeur blanche, ou une tache blanche roussâtre, [l’homme] se montrera au sacrificateur ; 20et le sacrificateur la verra : et voici, elle paraît plus enfoncée que la peau, et son poil est devenu blanc ; alors le sacrificateur le déclarera impur : c’est une plaie de lèpre, elle a fait éruption dans l’ulcère. 21Et si le sacrificateur la voit, et voici, il n’y a pas en elle de poil blanc, et elle n’est pas plus enfoncée que la peau, mais elle s’efface, le sacrificateur le fera enfermer pendant sept jours. 22Et si elle s’est beaucoup étendue dans la peau, alors le sacrificateur le déclarera impur : c’est une plaie. 23Mais si la tache est demeurée à sa place au même état, [et] ne s’est pas étendue, c’est la cicatrice de l’ulcère : le sacrificateur le déclarera pur.

24Ou si la chair a dans sa peau une brûlure de feu, et que la marque de la brûlure soit une tache d’un blanc roussâtre ou blanche, 25le sacrificateur la verra : et voici, le poil est devenu blanc dans la tache, et elle paraît plus enfoncée que la peau, – c’est une lèpre ; elle a fait éruption dans la brûlure ; et le sacrificateur le déclarera impur : c’est une plaie de lèpre. 26Et si le sacrificateur la voit, et voici, il n’y a pas de poil blanc dans la tache, et elle n’est pas plus enfoncée que la peau, et elle s’efface, le sacrificateur le fera enfermer pendant sept jours ; 27et le sacrificateur le verra le septième jour : – si la [tache] s’est beaucoup étendue dans la peau, alors le sacrificateur le déclarera impur : c’est une plaie de lèpre. 28Mais si la tache est demeurée à sa place au même état, [et] ne s’est pas étendue dans la peau, et qu’elle s’efface, c’est une tumeur de la brûlure, et le sacrificateur le déclarera pur ; car c’est la cicatrice de la brûlure.

29Et si un homme ou une femme a une plaie à la tête ou à la barbe, 30le sacrificateur verra la plaie : et voici, elle paraît plus enfoncée que la peau, ayant en elle du poil jaunâtre et fin, alors le sacrificateur le déclarera impur : c’est la teigne, c’est une lèpre de la tête ou de la barbe. 31Et si le sacrificateur voit la plaie de la teigne, et voici, elle ne paraît pas plus enfoncée que la peau, et elle n’a pas de poil noir, alors le sacrificateur fera enfermer pendant sept jours [celui qui a] la plaie de la teigne. 32Et le sacrificateur verra la plaie le septième jour : et voici, la teigne ne s’est pas étendue, et elle n’a pas de poil jaunâtre, et la teigne ne paraît pas plus enfoncée que la peau, 33alors l’hommeb se rasera, mais il ne rasera pas [l’endroit de] la teigne ; et le sacrificateur fera enfermer pendant sept autres jours [celui qui a] la teigne. 34Et le sacrificateur verra la teigne le septième jour : et voici, la teigne ne s’est pas étendue dans la peau, et elle ne paraît pas plus enfoncée que la peau, alors le sacrificateur le déclarera pur ; et l’hommeb lavera ses vêtements, et il sera pur. 35Et si la teigne s’est beaucoup étendue dans la peau, après sa purification, 36le sacrificateur le verra ; et sic la teigne s’est étendue dans la peau, le sacrificateur ne cherchera pas de poil jaunâtre : il est impur. 37Et si la teigne est demeurée au même état, à ses yeux, et que du poil noir y ait poussé, la teigne est guérie : il est pur, et le sacrificateur le déclarera pur.

38Et si un homme ou une femme a dans la peau de sa chair des taches, des taches blanches, 39le sacrificateur le verra ; et voici, dans la peau de leur chair, il y a des taches blanches, ternes, c’est une simple tache qui a fait éruption dans la peau : il est pur. 40Et si un homme a perdu les cheveux de sa tête, il est chauve : il est pur ; 41et s’il a perdu les cheveux de sa tête du côté du visage, il est chauve par-devant : il est pur. 42Et s’il y a, dans la partie chauve du haut ou de devant, une plaie blanche roussâtre, c’est une lèpre qui a fait éruption dans la partie chauve du haut ou de devant ; 43et le sacrificateur le verra : et voici, la tumeur de la plaie est d’un blanc roussâtre dans la partie chauve du haut ou de devant, comme une apparence de lèpre dans la peau de la chair ; 44c’est un homme lépreux, il est impur ; le sacrificateur le déclarera entièrement impur : sa plaie est en sa tête.

45Et le lépreux en qui sera la plaie aura ses vêtements déchirés et sa tête découverte, et il se couvrira la barbe, et il criera : Impur ! Impur ! 46Tout le temps que la plaie sera en lui, il sera impur ; il est impur ; il habitera seul, son habitation sera hors du camp.

47Et s’il y a une plaie de lèpre en un vêtement, en un vêtement de laine ou en un vêtement de lin, 48ou dans la chaîne ou dans la trame du lin ou de la laine, ou dans une peau, ou dans quelque ouvrage [fait] de peau, 49et si la plaie est verdâtre ou roussâtre dans le vêtement, ou dans la peau, ou dans la chaîne, ou dans la trame, ou dans quelque objet [fait] de peau, c’est une plaie de lèpre, et elle sera montrée au sacrificateur. 50Et le sacrificateur verra la plaie, et il fera enfermer pendant sept jours [l’objet où est] la plaie ; 51et le septième jour, il verra la plaie : – si la plaie s’est étendue dans le vêtement, soit dans la chaîne, soit dans la trame, soit dans la peau, dans un ouvrage quelconque qui a été fait de peau, la plaie est une lèpre rongeante : la chose est impure. 52Alors on brûlera le vêtement, ou la chaîne, ou la trame de laine ou de lin, ou tout objet [fait] de peau dans lequel est la plaie ; car c’est une lèpre rongeante ; la chose sera brûlée au feu. 53Et si le sacrificateur regarde, et voici, la plaie ne s’est pas étendue dans le vêtement, ou dans la chaîne, ou dans la trame, ou dans quelque objet [fait] de peau, 54alors le sacrificateur commandera qu’on lave l’objet où est la plaie, et le fera enfermer pendant sept autres jours. 55Et le sacrificateur verra, après que la plaie aura été lavée : et voici, la plaie n’a pas changé d’aspectd, et la plaie ne s’est pas étendue, – la chose est impure, tu la brûleras au feu ; c’est une érosion à son envers ou à son endroite. 56Et si le sacrificateur regarde, et voici, la plaie s’efface après avoir été lavée, alors on l’arrachera du vêtement, ou de la peau, ou de la chaîne, ou de la trame. 57Et si elle paraît encore dans le vêtement, ou dans la chaîne, ou dans la trame, ou dans quelque objet [fait] de peau, c’est une [lèpre] qui fait éruption ; tu brûleras au feu l’objet où est la plaie. 58Et le vêtement, ou la chaîne, ou la trame, ou tout objet [fait] de peau que tu auras lavé, et d’où la plaie s’est retirée, sera lavé une seconde fois, et il sera pur. 59Telle est la loi touchant la plaie de la lèpre dans un vêtement de laine ou de lin, ou dans la chaîne ou dans la trame, ou dans quelque objet [fait] de peau, pour le purifierf ou le déclarer impur.

Notes

atache blanchâtre, luisante ; ainsi partout.
blitt. : il.
clitt. : voici.
dou : de couleur.
emêmes mots que ceux rendus au v. 42 par : partie chauve du haut ou de devant.
fou : le déclarer pur.

(La Bible - Traduction J.N. Darby)