Après cet aperçu général, nous découvrons la nature très précieuse de chacune des parties de la cité. Dans l’ordre, la description couvre d’abord la muraille, la cité elle-même, les douze fondements de la muraille, les douze portes et la rue de la cité (versets 18-21). Ensuite, est évoquée la vie propre de la cité en relation avec Dieu et dans sa lumière.
Ici, le Saint Esprit ajoute que la gloire et la lumière de Dieu seront la protection de la cité, comme une muraille. Le résidu fidèle de Juda en parle dans son cantique d’anticipation : “Il a mis le salut pour murailles et pour remparts” Ésaïe 26. 1.
Dans une harmonie divine, car tout est d’or dans la cité, Christ fait briller dans chacun des siens un trait particulier de sa grâce et de sa gloire.
Chaque perle exprime ici la beauté morale de l’Église pour Christ. Aux portes de la cité, cette beauté est vue par les hommes et par les anges.
Les deux luminaires (le soleil et la lune) avaient été créés par Dieu au quatrième jour pour éclairer la terre et pour marquer le rythme des jours et des saisonsGenèse 1. 13-19. Ils ne sont plus nécessaires à la vie et au bonheur de la sainte cité qui, là encore, possède beaucoup plus : la lumière et la gloire de Dieu et de l’Agneau l’illuminent, et il n’y aura plus de nuit (verset 25).