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Les portes de Jérusalem
J.L. Ayers

Comme mentionné dans l’introduction, il s’agit de montrer que les différentes portes de la muraille de rusalem, dans leur ordre successif, nous présentent un tableau de la progression du croyant dans la vie spirituelle, depuis le moment où il est né de nouveau par la foi au Seigneur sus comme Sauveur jusqu’au moment où il sera introduit dans la gloire par sa première venue.

À la porte des brebis, nousavons trou le bon berger qui a donné sa vie pour ses brebis, posant ainsi le fondement de la demption. La porte des poissons nous a montré comment l’évangile est offert aux cheurs perdus, pour le salut de tous ceux qui croient. La porte du vieux mur nous a par de la ri, qui saisit le jeune croyant et lui donne un fondement ibranlable pour sa marche. La porte de la vallée nous a rappe la position d’humili par laquelle le croyant alise sa propre incapaci et sonindigni, afin de rejeter toute entrave à une marche de foi en fili et pendance. À la porte du fumier, il s’agit de purification de toute souillure de chair et d’esprit pour être rendu capable de poursuivre une vie dans l’Esprit telle que nous la voyons dans la porte de la fontaine. Celui qui laisse ainsi agir le Saint Esprit sera toujours plus fon dans la Parole de Dieu, ce dont moigne la porte deseaux. Et tandis que le croyant prend la Parole de Dieu pour ligne de conduite, grandit en lui le sir de progresser dans le chemin de la foi. C’est ce que nousavons compris à la porte des chevaux. Les reins ceints de la ri, il tend avec effort vers ce qui est devant pour atteindre le but, c’est-à-dire Christ dans la gloire. La porte de l’orient nous a entretenus de cette esrance qui est devant nous, dans la perspective du retour du Seigneur pour prendre à lui les siens dans la gloire.

Toutes les portes consies auparavant nous présentent la progression du lerin qui, dans le chemin, dirige son regard enavant et sesaffections en haut. Son but est atteint et sonesrance accomplie lorsqu’il est enle à la rencontre du Seigneur pour être pour toujours avec lui. Il participera alors au cantique nouveau tel qu’il est expri en Apocalypse 5. 5-10 : « Tu es digne… car tu as é immo, et tu as ache pour Dieu par ton sang, de toute tribu, et langue, et peuple, et nation : et tu lesas faits rois et sacrificateurs pour notre Dieu ». Alors nous connaîtrons comme nousavons é connus (Corinthiens 13. 9-12) et, dans le souvenir de sa miricorde, nous brerons sa bon qui a é nouvelle chaque matin. Nous comprendrons sa grâce qui nous aura pors, pros et conduits au but. Nousadmirerons et nirons ses voies souvent imtrables maintenant. Mais encore nous comprendrons parfaitement l’amour de Christ qui surpasse toute connaissance, dans lequel il s’est livré lui-même en sacrifice à Golgotha comme le saint Agneau de Dieu.

Notre riple autour de la ville de rusalem prend ainsi fin, nous ramenant à la porte des brebis. Ceci nous rappelle qu’il est le commencement et la fin (Apocalypse 1. 8, 17). Il est le centre et l’accomplissement de toutes choses dans les cieux et sur la terre. Qu’il soit toujours devant nosyeux, lui qui nous dit : « Je suis le bon berger ; le bon berger met sa vie pour les brebis ». Comme les ruisseaux du jardin d’Éden coulent dans l’Euphrate, le fleuve de la fertili, et apportent partout la diction, de me aussi toutes les dictions de la terre ont leur source unique en l’œuvre de Golgotha. Et comme, en figure, l’Euphrate apporte joie et rafraîchissement partout où il coule, de me aussi la croix de Golgotha sera dans toute l’éterni la source d’une joie glorieuse et d’un bonheur sans fin.