Comme les deux livres précédents, celui-ci s’achève par la louange des fidèles.
Tout au long de ce livre, ceux-ci ont demandé la délivrance, et jusque dans le dernier psaume. Dieu leur a pourtant répondu, en donnant des encouragements à leur foi. D’abord, il les a remplis de l’assurance de sa bonté, et les a invités à entrer dans ses sanctuaires, pour comprendre ses voies. Il leur a rappelé sa fidélité, les délivrances accordées à son peuple autrefois. Il a placé devant eux l’homme de sa droite, le Roi qui les délivrera.
Ce qui est proposé aux Juifs fidèles des temps de la fin est de la même nature que ce qui est proposé à tout chrétien.
Nous attendons la réalisation des promesses de Dieu, l’adoption, la délivrance de notre corps. Nous sommes sauvés en espéranceRomains 8. 23, 24. Mais notre espérance est en Christ, le chef et le consommateur de la foi.
Israël attend le roi de gloire, le Messie qui le délivrera. Nous attendons du ciel “le Seigneur Jésus Christ comme Sauveur, qui transformera le corps de notre abaissement en la conformité du corps de sa gloire, selon l’opération de ce pouvoir qu’il a de s’assujettir même toutes choses” Philippiens 3. 20, 21.
Si les croyants d’autrefois avaient de puissants motifs pour louer Dieu, combien plus nous, enfants de Dieu, qui pouvons nous écrier : “Béni soit le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus Christ qui nous a bénis de toute bénédiction spirituelle…” Éphésiens 1. 3 !