Le découragement dans le service

“Redressez les mains lassées”. Vous vous lamentez car le terrain est stérile ; il n’y a pas de fruits sur les arbres. Cela peut concerner le service du Seigneur dans un pays étranger, ou celui d’une mère à la maison, ou le service dans l’assemblée locale – il y aura inévitablement des sujets de découragement. Notre encouragement doit donc venir du Seigneur et de sa Parole. Lui-même a dit de son propre travail : “J’ai travaillé en vain, j’ai consumé ma force pour le néant et en vain ; toutefois mon jugement est par devers l’Éternel, et mon œuvre par devers mon Dieu” (Ésaïe 49. 4). Cela ressemble à ce que Paul dit aux Corinthiens : “Ainsi, mes frères bien-aimés, soyez fermes… abondant toujours dans l’œuvre du Seigneur, sachant que votre travail n’est pas vain dans le Seigneur” (1 Corinthiens 15. 58).

Le découragement dans la prière

“Les genoux défaillants”. Vous avez prié pour le salut d’un être aimé, pour le rétablissement d’une relation brisée, pour une situation que vous ne pouvez changer vous-même. Comme Élie, vous vous êtes courbé jusqu’en terre, vous avez mis votre face entre vos genoux, et vous avez regardé, mais “il n’y a rien”. Il vous faut alors y “retourner sept fois”, car les croyants devraient “toujours prier et ne pas se lasser” (1 Rois 18. 42-46 ; Luc 18. 1). Bientôt, vous verrez un “petit nuage” qui se transformera en pluie de bénédiction.

Le découragement dans la marche

“Faites des sentiers droits à vos pieds”. Nous sommes appelés à marcher d’une manière digne de notre appel (voir Éphésiens 4. 1-3). Cependant, il nous arrive de persévérer dans un grave péché, au point d’être prêt à abandonner de suivre le Seigneur. C’est ce que Satan veut, car il sait que nous serons ainsi rendus inutiles pour Dieu ; mais nous devons nous relever et persévérer, car le chemin, aussi difficile qu’il paraisse, se terminera dans la gloire.