Ce que nous devons faire ou ne pas faire découle de ce que nous sommes. Or notre double position vient d’être précisée (versets 12 et 13) :
Pensons aux choses d’en haut, appliquons les principes d’en haut dans nos circonstances les plus ordinaires.
Oui, vous êtes morts, confirme le verset 3 et la vie nouvelle, impérissable, que vous possédez à présent est « cachée avec le Christ en Dieu ». « C’est pourquoi le monde ne nous connaît pas – c’est-à-dire ne peut pas nous comprendre – parce qu’il ne l’a pas connu » (1 Jean 3. 1). Mais quand Christ sera manifesté, alors tous sauront quel était notre secret.
Bien que notre vie soit au ciel, il nous reste sur la terre des « membres » moraux dangereux, autrement dit nos convoitises. Appliquons la mort à toutes ces coupables manifestations du vieil homme. À cause d’elles « la colère de Dieu vient sur les fils de la désobéissance ». À cause d’elles aussi cette colère est tombée sur notre parfait Substitut.