Le Seigneur est proche
Bien que le Seigneur ait beaucoup souffert, non seulement sur la croix mais aussi lorsqu’il marchait dans ce monde, il a pourtant croisé quelques “torrents” qui l’ont rafraîchi. Considérons quelques-unes de ces occasions – vous pourrez certainement en trouver d’autres.
– Marie assise aux pieds de Jésus, écoutant sa parole (Luc 10. 38-42) et, plus tard, oignant ses pieds avec le parfum de nard pur de grand prix (Jean 12. 1-7).
– L’offrande d’une veuve pauvre (Marc 12. 42-44).
– La réponse de la femme samaritaine à la fontaine de Sichar (Jean 4. 15).
– Le centurion venu prier Jésus pour son serviteur malade, et insistant pour qu’il dise seulement une parole pour le guérir (Matthieu 8. 5-13).
– La femme cananéenne dont la fille était malade, et qui le pria pour elle, bien qu’elle n’ait aucun droit, elle, une étrangère (Matthieu 15. 22-28).
– Le Samaritain lépreux, qui fut le seul à retourner vers Jésus pour lui rendre grâces (Luc 17. 15-16).
– Zachée, qui voulait voir Jésus, et qui a été transformé après avoir ouvert sa porte au Seigneur (Luc 19. 2-10).
– La déclaration de Pierre : “Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant” (Matthieu 16. 16).
Même si le Seigneur n’est plus physiquement sur la terre comme autrefois, ne désirons-nous pas rafraîchir son cœur comme l’ont fait ceux-là ? Je suis certain que nous le désirons tous. Mais comment ? Par nos actes envers lui : l’écouter, et aussi l’adorer, comme Marie ; donner sans compter, comme la veuve pauvre ; montrer notre foi, comme le centurion ; nous humilier, comme la femme cananéenne ; remercier, comme le lépreux samaritain guéri ; nous repentir, comme Zachée ; ouvrir nos cœurs, comme Pierre, pour recevoir les choses de Dieu et les faire nôtres. Il ne s’agit là que de quelques exemples.