Plusieurs milliers de pages accessibles en format adapté aux lecteurs dyslexiques. Essayer maintenant
Bannière

Le Seigneur est proche

Alors je vis le ciel ouvert : et voici un cheval blanc, et celui qui le montait, appelé Fidèle et Véritable.
Apocalypse 19. 11
Les cieux ouverts (4)
Jésus, Roi des rois et Seigneur des seigneurs

Le ciel a reçu le Seigneur Jésus Christ (Actes 3. 21). Dans un sens, il est maintenant caché aux regards des hommes, mais pas aux regards de la foi, “car nous marchons par la foi, non par la vue” (2 Corinthiens 5. 7).

Dans un temps encore à venir, que seul Dieu le Père connaît et qu’il a placé sous sa propre autorité, le Seigneur apparaîtra aux yeux du monde entier (Actes 1. 7, 11 ; Matthieu 24. 36, 44). Il apparaîtra par surprise ; il viendra “comme un voleur dans la nuit” (1 Thessaloniciens 5. 1-2). C’est précisément de cela que nous parle Apocalypse 19, mais depuis une perspective céleste. Il vient pour juger et faire la guerre aux hommes plein de mépris qui contestent son autorité et oppriment la terre.

Auparavant, le Seigneur va venir pour enlever les siens. Nous serons alors avec lui dans la gloire, selon Apocalypse 19. 14 : “Les armées qui sont dans le ciel le suivaient sur des chevaux blancs ; elles étaient vêtues de fin lin, blanc et pur”. Les cieux seront ouverts pour révéler le Roi des rois et le Seigneur des seigneurs (v. 16). Il sera le centre et l’objet des cieux et de la terre (Éphésiens 1. 10).

Ainsi, à la venue du Seigneur en gloire, nous, son Église, nous serons avec lui. Il sera alors “glorifié dans ses saints” (2 Thessaloniciens 1. 10). Quand il apparaîtra glorieux, nous serons “manifestés avec lui en gloire” (Colossiens 3. 4). Le monde nous verra dans cette même gloire (voir Jean 17. 22-23).

Mais il y a une autre référence aux cieux ouverts : Jean voit “une porte ouverte dans le ciel” (Apocalypse 4. 1). Il s’agit ici d’une vision. Jean entend l’appel suivant : “Monte ici”. C’est une image de l’enlèvement de l’Église. La porte s’ouvre pour nous introduire au ciel. C’est notre espérance bénie et en Apocalypse 19, nous sommes vus dans les cieux ouverts à la suite de notre Seigneur.

B. Reynolds

×