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Le Seigneur est proche

L’Éternel est mon rocher et mon lieu fort, et celui qui me délivre. Dieu est mon rocher, je me confierai en lui, mon bouclier et la corne de mon salut, ma haute retraite et mon refuge. Mon Sauveur, tu me sauveras de la violence !
2 Samuel 22. 2-3
Moi, je suis l’Éternel et, en dehors de moi, il n’y en a pas qui sauve.
Ésaïe 43. 11
Christ, notre Sauveur (1)
Un Sauveur merveilleux

Qu’il est merveilleux d’avoir un Sauveur ! Avec l’aide du Seigneur, nous désirons considérer quelques-uns des passages des Écritures présentant le Seigneur Jésus comme notre Sauveur.

Souvent dans l’Ancien Testament, comme dans le premier passage ci-dessus, l’idée de salut et d’un Sauveur est liée à la délivrance d’ennemis de sang et de chair (voir par exemple Psaume 37. 39-40). David, d’abord lorsqu’il fuyait Saül, et plus tard en tant que roi d’Israël, a pu apprécier ainsi l’Éternel comme son Sauveur. Certainement, nous avons tous fait également l’expérience de telles délivrances. Qu’il s’agisse d’accidents de voiture, de problèmes de santé ou d’autres choses de ce genre, notre Dieu nous délivre encore aujourd’hui et nous préserve de nombreux dangers dans ce monde.

Le verset ci-dessus d’Ésaïe 43 montre que Dieu seul est le Sauveur de son peuple. Il peut cependant employer des hommes pour le délivrer, comme dans le livre des Juges où ce titre de “sauveur” a été attribué à certains hommes appelés par Dieu – par exemple, Othniel et Éhud (Juges 3. 9, 15).

Toutefois, en venant au Nouveau Testament, nous voyons que l’idée d’un Sauveur et de son salut est en relation avec le fait d’être sauvés de nos péchés et de nos ennemis spirituels. La première annonce concernant le Seigneur Jésus déclare : “C’est lui qui sauvera son peuple de leurs péchés” (Matthieu 1. 21).

Jésus est pour nous un Sauveur merveilleux, à aucun autre semblable.

K. Quartell
Il n’y a de salut en aucun autre ; car il n’y a pas non plus d’autre nom sous le ciel, qui soit donné parmi les hommes, par lequel il nous faut être sauvés.

Actes 4. 12

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