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Le Seigneur est proche

Voici une voix qui venait des cieux : Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j’ai trouvé mon plaisir.
Matthieu 3. 17
Voici une voix venant de la nuée, qui disait : Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j’ai trouvé mon plaisir ; écoutez-le.
Matthieu 17. 5
Pour la joie du Père

Nous entendons Christ dire : “[Le Père] ne m’a pas laissé seul, parce que moi, je fais toujours ce qui lui est agréable” (Jean 8. 29). Qui, à part Lui, qui est à la fois Dieu et homme parfait en une seule Personne, aurait pu prétendre une telle chose ?

D’autres diront : Je désire faire ce que Dieu veut, mais seul le Christ pouvait dire : Je fais toujours ce qui plaît au Père.

Hormis le Fils de Dieu, celui qui prononce de telles paroles est un menteur. Mais la plupart ne voulaient pas reconnaître Jésus Christ comme une Personne divine. C’est pourquoi, à tort, ils l’ont accusé de mensonge et ont tenté de le lapider. Certains toutefois l’ont accepté comme le Fils de Dieu. Avec foi, ils ont reconnu sa gloire divine et son humanité parfaite.

Si nous suivons les traces de Jésus sur la terre, nous voyons Celui qui vivait constamment pour la joie de Dieu. Tous les autres cherchaient leur propre gloire, mais Lui cherchait seulement la gloire de son Père. Tous les autres ont suivi leur propre volonté, mais Jésus a toujours fait celle de son Père. Au cours des 33 années de sa vie sur la terre, il a toujours pensé, parlé et agi comme Dieu le voulait. C’est pourquoi son Père a pu témoigner deux fois avec une grande joie : “Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j’ai trouvé mon plaisir”.

La première fois, Jésus venait d’avoir 30 ans (voir Luc 3. 22-23). Avant qu’il commence son ministère public, le Père pouvait témoigner de la perfection qu’il avait trouvée dans cet enfant devenu adulte qui avait toujours fait sa volonté.

La deuxième fois, c’était sur la montagne, au moment où Jésus apparaît resplendissant de gloire aux yeux de ses disciples. Il parle avec Moïse et Élie de la mort qu’il allait accomplir à Jérusalem. Le Père peut témoigner de la pleine satisfaction qu’il a trouvée en lui dans l’accomplissement de cette œuvre qu’il lui avait donnée à faire (Jean 17. 4) et pour laquelle il allait laisser sa vie.