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Le Seigneur est proche

Quand le royaume de Roboam fut affermi, et qu’il se fut fortifié, il abandonna la loi de l’Éternel, et tout Israël avec lui.
2 Chroniques 12. 1
Ce que Roboam nous apprend (3)
Garder la Parole de Dieu

Roboam pensait sans doute que sa force, sa sagesse personnelle, et peut-être aussi la contribution de ses proches, favoriseraient l’affermissement de son royaume. Le résultat est qu’il a “abandonné la loi de l’Éternel”, et comme il était le roi, tout Israël l’a suivi. “Ainsi dit l’Éternel : Vous m’avez abandonné” (2 Chroniques 12. 5). À cause de cela, “Shishak, roi d’Égypte, monta contre Jérusalem et prit les trésors de la maison de l’Éternel et les trésors de la maison du roi : il prit tout” (v. 9). Non seulement les Israélites ont perdu tous leurs trésors, mais ils ont été asservis à Shishak (v. 8). Ils ont dû ainsi apprendre la différence qu’il y a entre le service riche et béni de l’Éternel, et ce que c’est que d’être au service des rois des nations. Roboam a perdu toutes ses richesses parce qu’il a abandonné la loi de l’Éternel.

Abandonner la Parole de Dieu, même partiellement, c’est perdre nos richesses : qu’il s’agisse de vérités précieuses concernant le salut, ou la position bénie que nous avons en Christ, que ce soit l’enseignement concernant les choses présentes ou les choses à venir. C’est la même chose que d’abandonner Dieu. Nous tourner vers nous-mêmes pour compenser cette perte amènera davantage d’appauvrissement (voir Apocalypse 3. 17).

Le seul moyen de conserver nos riches bénédictions, c’est de garder la Parole de Dieu. Le Seigneur était heureux de dire à l’assemblée à Philadelphie : “Tu as gardé ma Parole et tu n’as pas renié mon nom” (Apocalypse 3. 8). Et il dit à chacun d’entre nous : “Si nous gardez mes commandements, vous demeurerez dans mon amour” (Jean 15. 10).

Puissions-nous plaire à son cœur en cela aujourd’hui !

d’après A. Leclerc
Oh ! s’ils avaient toujours ce cœur-là pour me craindre et pour garder tous mes commandements, afin de prospérer, eux et leurs fils, à toujours !

Deutéronome 5. 29

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