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Le Seigneur est proche

À celui qui nous aime, et qui nous a lavés de nos péchés dans son sang – et il a fait de nous un royaume, des sacrificateurs pour son Dieu et Père –, à lui la gloire et la force aux siècles des siècles ! Amen.
Apocalypse 1. 5, 6
Doxologies du Nouveau Testament (12)
À celui qui nous aime

L’Apocalypse est un livre plein de détails prophétiques, mais ce n’est pas son sujet principal. Son sujet, c’est Jésus Christ révélé comme le véritable Héritier et le Souverain universel. Un livre en rouleau, scellé de sept sceaux, sera placé par Dieu le Père dans les mains de l’Agneau (Apocalypse 5. 1-7). Il contient la révélation du plan de Dieu concernant la terre, et révèle qui en sera l’Héritier légitime, celui qui régnera sur tout (voir Psaume 2. 8, 9).

Dans les versets du jour, l’Église est décrite comme un royaume de sacrificateurs – et des sacrificateurs qui ne gardent pas le silence. Les événements qui sont sur le point d’être révélés ne les concernent pourtant pas vraiment, mais concernent plutôt Israël et les nations de la terre. Néanmoins, les sacrificateurs ne peuvent pas se retenir de rendre honneur à leur Seigneur, un peu comme un grand général qui s’apprêterait à défiler dans une parade de victoire, et dont l’épouse et les enfants s’exclameraient fièrement : C’est mon mari ! C’est mon père ! – De même l’Église peut dire : Ce personnage royal est Celui qui est mort pour nous, et c’est mon Époux !

Nous sommes déjà des sacrificateurs, et nous n’avons donc pas à attendre le ciel pour le louer : “À celui qui nous aime, et qui nous a lavés de nos péchés dans son sang – et il a fait de nous un royaume, des sacrificateurs pour son Dieu et Père –, à lui la gloire et la force aux siècles des siècles ! Amen”.

Il nous a aimés, il nous a lavés, et il nous aime ! Il est vrai qu’il m’a aimé quand il s’est livré pour moi, il y a 2 000 ans, et qu’il a aimé l’Assemblée (Galates 2. 20 ; Éphésiens 5. 25) ; mais il est également vrai qu’il nous aime continuellement. C’est un fait déjà actuel, mais aussi permanent, constant, sans variation. À lui la gloire !

d’après B. Reynolds

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