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Le Seigneur est proche

Tu as dit à l’Éternel : Tu es le Seigneur, ma bonté ne s’élève pas jusqu’à toi… Tu me feras connaître le chemin de la vie ; ta face est un rassasiement de joie, il y a des plaisirs à ta droite pour toujours.
Psaume 16. 2, 11
Communion permanente avec le Seigneur

Quand nous serons au ciel, avec le Seigneur Jésus, nous éprouverons la joie de sa présence – c’est ce qu’il désire pour nous. Il a dit : “Je vous prendrai auprès de moi, afin que là où moi je suis, vous, vous soyez aussi” (Jean 14. 3). Mais il désire que nous profitions déjà maintenant de cette intimité avec lui. Notre joie, dès à présent, peut être complète lorsque nous sommes en communion avec le Père et le Fils. L’apôtre Jean avait cultivé une communion intime avec Jésus lorsqu’il le suivait comme disciple, et il pouvait écrire : “Ce que nous avons vu et entendu, nous vous l’annonçons, afin que vous aussi vous ayez communion avec nous : or notre communion est avec le Père et avec son Fils Jésus Christ. Et cela, nous vous l’écrivons afin que votre joie soit accomplie” (1 Jean 1. 3, 4).

Si nous ne réalisons la communion avec le Seigneur que quelques heures par semaine, nous serons spirituellement appauvris ! Nous désirons bien être au ciel où notre Seigneur se trouve et où nous serons pour l’éternité, mais nous passons parfois peu de temps actuellement dans l’intimité avec lui.

La Parole nous encourage à penser au Seigneur, à tout faire pour lui, à reconnaître sa présence à chaque instant, à méditer à son sujet, à l’invoquer ; c’est quelque chose que nous avons besoin de cultiver soigneusement dans notre vie. Nous avons à nous tenir constamment dans la présence de Dieu. Nous devons toujours nous souvenir, et en toute conscience, qu’il est avec nous.

Remercions-le – non pas seulement une fois par semaine, ou une fois par jour, mais constamment – pour ce qu’il est, pour ce qu’il a fait, et pour ce qu’il fait dans notre vie. En pensant ainsi à lui, nous pouvons lui parler de nos besoins, de nos fautes, de nos tentations, de nos combats. Lorsque nous nous laissons distraire par les nombreuses choses qui se pressent dans notre esprit, nous pouvons le lui confesser, lui demander de nous aider à garder notre esprit occupé de lui, puis reprendre notre chemin.

Nous avons besoin de demeurer dans la présence de Dieu un moment après l’autre. Cela se verra dans notre vie, en sainteté et en louange.

A. Blok

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