Le Seigneur est proche
Cette promesse, donnée à celui qui vaincra, mentionne l’arbre de vie et le paradis : il est donc clair qu’elle nous amène à penser au commencement de la création. Mais la promesse elle-même, en réalité, nous fait remonter bien avant le paradis du jardin d’Éden. Il est important de noter que la promesse parle du “paradis de Dieu” et non du paradis de l’homme.
Adam, dans le jardin, avant sa chute, n’était pas dans un état de justice (ou de justification). Ce n’était pas nécessaire puisque le péché n’était pas encore entré dans le monde ; l’homme était dans un état d’innocence. Ce sont deux choses différentes : l’une est l’absence de péché ; l’autre un état permanent de justice devant Dieu.
La promesse à celui qui vaincra ne nous ramène pas simplement à un paradis terrestre, mais nous conduit à quelque chose de beaucoup plus élevé : “un héritage incorruptible, sans souillure, inaltérable, conservé dans les cieux pour vous”, croyants (1 Pierre 1. 4). Si vous ne vous êtes pas encore arrêté(e), aujourd’hui, pour rendre grâces au Seigneur pour ce qu’il a promis et préparé pour nous (Jean 14. 2), ce serait maintenant le bon moment pour le faire. Béni soit son Nom !