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Le Seigneur est proche

Nous avons tous été errants comme des brebis, nous nous sommes tournés chacun vers son propre chemin, et l’Éternel a fait tomber sur lui l’iniquité de nous tous.
Ésaïe 53. 6
Le mystère sans égal de l’amour

Dieu a envoyé son Fils dans ce monde pour qu’il vive la vie parfaite que nous ne pouvions pas vivre, ce qui nous excluait de la gloire de sa présence ; il devait payer l’immense dette du péché que nous ne pouvions pas payer et qui était exigée de nous. Il l’a payée en la prenant sur lui et en mourant pour nos péchés, afin que son sang qui a coulé sur la croix “nous purifie de tout péché” (1 Jean 1. 7).

Mais ce n’était pas seulement la sainteté de Dieu qui exigeait le jugement du péché ; Dieu cherchait un moyen de montrer l’étendue de son amour pour de pauvres et misérables pécheurs. L’apôtre Jean écrit : “En ceci a été manifesté l’amour de Dieu pour nous : c’est que Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous vivions par lui ; en ceci est l’amour : non en ce que nous, nous ayons aimé Dieu, mais en ce que lui nous aima et qu’il envoya son Fils pour être la propitiation pour nos péchés” (1 Jean 4. 9, 10).

Le troisième jour, Dieu l’a ressuscité d’entre les morts, démontrant sa satisfaction absolue envers l’œuvre de la croix. La mort et la résurrection du Seigneur Jésus sont devenues la base de la prédication de l’évangile, et le seul et unique fondement sur lequel Dieu puisse être “juste” tout en “justifiant celui qui est de la foi en Jésus” (Romains 3. 26). Satan peut nous attaquer, mais “c’est Dieu qui justifie”, nous déchargeant de toute accusation de culpabilité. “Qui est celui qui condamne ? – C’est Christ qui est mort, bien plus, qui est aussi ressuscité, qui est aussi à la droite de Dieu, qui aussi intercède pour nous !” (Romains 8. 33, 34).

Remarquons les trois parties dans le verset du jour, en lien avec la question du péché :

– “nous”, avec nos péchés ;

– “l’Éternel”, que nous avions offensé par nos péchés ;

– “lui”, c’est-à-dire Christ (la sainte victime) sur lequel Dieu a mis nos péchés.

C’est le mystère sans égal de l’amour !

R.A. Barnett

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