Le Seigneur est proche
Le Seigneur Jésus a déclaré que parmi tous les lépreux en Israël au temps du prophète Élisée, un seul a été rendu net : Naaman le Syrien (Luc 4. 27). Cette guérison nous fournit aujourd’hui encore des instructions bénéfiques.
Le salut ne provient jamais de nos mérites. La guérison de Naaman, image du salut, ne pouvait pas être due aux mérites de ce Syrien, car il n’en avait aucun : il était lépreux, en plus d’être un païen. Pour être guéri, il devait suivre les instructions données par le prophète. Lorsqu’il a obéi, il a été guéri. Il a alors pris une décision qui manifestait combien sa foi était profondément ancrée en l’Éternel, qui l’avait guéri.
Il a décidé qu’à partir de ce moment, il n’adorerait aucun autre dieu, mais l’Éternel seul. Il était devenu “une nouvelle création” ; les choses anciennes étaient bien passées, et toutes choses étaient devenues nouvelles (2 Corinthiens 5. 17). Et en tant que nouvelle création, il était en paix avec Dieu (Romains 5. 1).
Ce merveilleux changement dans la vie de Naaman était visible de l’extérieur : sur son corps, il n’y avait plus de trace de la lèpre. Mais
Naaman a alors manifesté cette vérité tirée du Nouveau Testament : “Nous sommes son ouvrage, ayant été créés dans le Christ Jésus pour les bonnes œuvres que Dieu a préparées à l’avance, afin que nous marchions en elles” (Éphésiens 2. 10).