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Le Seigneur est proche

Naaman dit : … qu’on donne, je te prie, de cette terre à ton serviteur la charge de deux mulets. Car ton serviteur n’offrira plus d’holocauste ni de sacrifice à d’autres dieux, mais seulement à l’Éternel.
2 Rois 5. 17
Naaman (1)
La paix avec Dieu

Le Seigneur Jésus a déclaré que parmi tous les lépreux en Israël au temps du prophète Élisée, un seul a été rendu net : Naaman le Syrien (Luc 4. 27). Cette guérison nous fournit aujourd’hui encore des instructions bénéfiques.

Le salut ne provient jamais de nos mérites. La guérison de Naaman, image du salut, ne pouvait pas être due aux mérites de ce Syrien, car il n’en avait aucun : il était lépreux, en plus d’être un païen. Pour être guéri, il devait suivre les instructions données par le prophète. Lorsqu’il a obéi, il a été guéri. Il a alors pris une décision qui manifestait combien sa foi était profondément ancrée en l’Éternel, qui l’avait guéri.

Il a décidé qu’à partir de ce moment, il n’adorerait aucun autre dieu, mais l’Éternel seul. Il était devenu “une nouvelle création” ; les choses anciennes étaient bien passées, et toutes choses étaient devenues nouvelles (2 Corinthiens 5. 17). Et en tant que nouvelle création, il était en paix avec Dieu (Romains 5. 1).

Ce merveilleux changement dans la vie de Naaman était visible de l’extérieur : sur son corps, il n’y avait plus de trace de la lèpre. Mais le changement intérieur, plus profond encore, ne pouvait être manifesté que par des actes. Sa demande d’emporter de la terre provenant du pays d’Israël montre à quel point les choses étaient devenues nouvelles pour lui. Tout ce qui était de la Syrie et du culte syrien était mis de côté, car il était une nouvelle création. Il avait la paix avec Dieu.

Naaman a alors manifesté cette vérité tirée du Nouveau Testament : “Nous sommes son ouvrage, ayant été créés dans le Christ Jésus pour les bonnes œuvres que Dieu a préparées à l’avance, afin que nous marchions en elles” (Éphésiens 2. 10).

(à suivre)
Vous [les croyants à Thessalonique] vous êtes tournés vers Dieu, vous détournant des idoles pour servir le Dieu vivant et vrai.

1 Thessaloniciens 1. 9
Les choses qui pour moi [l’apôtre Paul] étaient un gain, je les ai considérées, à cause du Christ, comme une perte.

Philippiens 3. 7

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