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Le Seigneur est proche

Jésus, fatigué du chemin, se tenait assis au bord de la fontaine… Une femme de la Samarie vient pour puiser de l’eau.
Jean 4. 6, 7
Une femme pécheresse découvre le véritable amour

Cette femme n’a pas été tout de suite très affable avec Jésus. Il a fallu que ce soit lui qui lui demande à boire ; sa réponse, qui avait même l’air de manquer de la simple politesse, montrait qu’elle était peu disposée à donner un verre d’eau à un étranger. Ses réponses étaient évasives et même moqueuses. La vie amoureuse de cette Samaritaine avait été un désastre. Cinq mariages (vraiment un record dans n’importe quelle société !) avaient échoué ; aussi les formalités avaient-elles été abandonnées avec le sixième homme qui n’était pas son mari (v. 8-18).

Pourquoi alors le Fils de Dieu a-t-il fait un détour de plusieurs kilomètres, sur des routes poussiéreuses, pour rencontrer cette femme ? Pourquoi avoir accepté de se faire repousser et de supporter ses moqueries ? Pourquoi passer du temps à parler à une personne atteinte par la pollution morale et religieuse ? La réponse est un simple mot – amour.

Jésus Christ est venu apporter le pardon des péchés et la délivrance des préjugés, de la convoitise et de l’amertume. Il est venu pour “donner la vie” – la vie éternelle – et pour remplir des personnes de son amour. Tout cela, et bien plus encore, était compris dans l’offre qu’il faisait à cette femme : de “l’eau vive” (v. 13), qui apaiserait sa soif à toujours.

Comme ses paroles pour celui qui a soif sont claires : “L’eau que je lui donnerai sera en lui une fontaine d’eau jaillissant en vie éternelle” (v. 14) ! Bien que ce récit soit vieux de près de 2 000 ans, son application est aussi fraîche qu’un torrent de montagne !

Chaque jour, des personnes découvrent ce que cette misérable femme a trouvé : le Seigneur Jésus Christ est le Messie, le Fils de Dieu, et la vraie vie commence quand on se confie en lui.

L’invitation de cette femme retentit encore aujourd’hui : “Venez, voyez un homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait ; celui-ci n’est-il pas le Christ ?” (v. 29).

G.W. Steidl

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