Le Seigneur est proche
La dîme était donnée par l’Éternel aux Lévites de la part des fils d’Israël. C’était en quelque sorte leur héritage, ce que Dieu avait prévu pour subvenir aux besoins de ses serviteurs. Au lieu d’allouer des terres aux Lévites comme héritage, Dieu demande à son peuple de lui rendre un dixième de ce qu’il leur avait donné. Un dixième du revenu de douze tribus représentait un peu plus que le revenu moyen d’une tribu (les Lévites recevaient 1210e<exposant> au lieu de 1010e<exposant>, donc 210e<exposant> ou 15e<exposant> de plus que chaque tribu). Ainsi, Dieu pourvoyait richement aux besoins de ses serviteurs. Si on ajoutait à cela des offrandes volontaires, les Lévites devaient pouvoir vivre sans problèmes financiers. Mais cela, bien sûr, dépendait de l’obéissance du peuple d’Israël aux commandements de Dieu.
En Actes 20, ces paroles du Seigneur Jésus sont rappelées : “Il est plus heureux de donner que de recevoir” (v. 35). Dieu est Celui qui donne, et qui bénit parfaitement. Mais
Aujourd’hui, il n’est pas question d’imposer un montant, ce serait revenir à la Loi. Plusieurs fois, en 2 Corinthiens 8, le don est présenté comme une grâce. Le Seigneur Jésus, l’Homme riche, s’est donné lui-même par grâce pour nous (v. 9). “Que chacun fasse comme il se l’est proposé dans son cœur, non pas à regret, ou par contrainte, car