Le Seigneur est proche
Le Seigneur Jésus prend soin de tous les siens : il a payé le prix suprême lorsque son sang a coulé sur la croix pour les racheter. Il ne les abandonnera pas. Il connaît aussi tous les dangers qu’ils rencontrent dans ce monde.
Les versets ci-dessus montrent comment nous devons prendre soin de nos frères. Si un animal qui lui appartient s’égare, et que quelqu’un le trouve, que doit-il faire ? – Le ramener à son propriétaire – à “son frère” ! De même, lorsque notre frère va mal, nous ne devons pas passer notre chemin en disant que cela ne nous concerne pas.
Au sujet du bœuf, nous trouvons ces mots : “Tu ne muselleras pas le bœuf qui foule le grain” (1 Corinthiens 9. 9). Ici, la leçon spirituelle est claire : n’ayant plus son bœuf, mon frère a perdu la capacité de fouler le grain, il n’est pas en état de se procurer sa nourriture spirituelle et il va bientôt dépérir.
Au sujet du mouton, l’Écriture est pleine d’exemples présentant cet animal comme un sacrifice. “Voilà l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde !” (Jean 1. 29). Si un Israélite n’avait pas de mouton ou d’agneau, il ne pouvait pas célébrer la Pâque ni offrir un sacrifice à l’Éternel. De la même manière, aujourd’hui, si un frère perd la capacité d’apprécier Christ et son sacrifice, il sera incapable d’adorer et d’apporter sa louange à Dieu.
Enfin, il y a l’âne, l’animal qu’on emploie pour porter des fardeaux. De nombreux chrétiens gémissent sous un lourd fardeau et ont perdu leur chemin pour aller à Christ et trouver du repos. Conduisons-les à Celui qui a dit : “Venez à moi, vous tous qui vous fatiguez et qui êtes chargés, et moi, je vous donnerai du repos” (Matthieu 11. 28).