Le Seigneur est proche
Le travail que le Seigneur m’a donné à faire ne peut pas être accompli par qui que ce soit d’autre, et ce que je fais n’interférera pas avec ce que font les autres. La maison où nous servons est celle du Seigneur, et tous sont donc sous son autorité ; c’est aussi une seule maison, ce qui implique l’unité, mais pas l’uniformité.
Les versets ci-dessus suggèrent clairement que tout est fait pour le Maître de la maison pendant son absence. Dans la mesure où nous en sommes conscients, d’autres en bénéficieront. En résumé, nous pouvons dire que dans la maison du Seigneur tout doit être fait dans l’harmonie avec les autres, chacun obéissant aux instructions du Maître. Ce qui est sous-jacent ici, bien que ce ne soit pas exprimé, c’est que
Le Seigneur exprime aussi le besoin impératif de veiller avec soin pendant son absence. Cela est illustré en Néhémie 4 : les hommes qui réparaient la muraille tenaient un outil dans une main, une arme dans l’autre (v. 15-23). Nous voyons ici la nécessité de travailler et veiller, aussi bien que de prier et travailler. Dans un autre cas, les croyants de Thyatire avaient beaucoup travaillé, mais ils n’avaient pas veillé (Apocalypse 2. 19-23) ! Et qu’en est-il de nous ? La recherche de notre propre satisfaction, la paresse spirituelle, l’oisiveté, le manque d’intérêt pour la maison de Dieu et son œuvre, ouvrent la porte au mal, ou la ferment à ce qui est bon.
Le portier a une responsabilité toute spéciale de veiller. Mais cela ne diminue pas l’importance de l’appel général à veiller adressé à tous les esclaves. Quels que soient les situations ou les besoins particuliers, aussi longtemps que le Maître est absent, nous devons veiller. Et, répétons-le,