Hier, nous avons vu les assurances de la Parole de Dieu au sujet de notre Sauveur et sur ce que, grâce à lui, nous sommes maintenant et serons demain. Pierre nous dit ici que nous savons que nous avons été “rachetés de notre vaine conduite”. Le but est donc de vivre maintenant d’une manière différente, nouvelle. Pour cela, nous avons aussi des assurances sur lesquelles nous appuyer.

Chaque chrétien désire honorer Dieu. La première étape est de réaliser que Dieu nous a donné une nouvelle nature qui nous permet de ne pas pécher. “Nous savons que quiconque est né de Dieu ne pèche pas, mais celui qui est né de Dieu se conserve lui-même, et le Méchant ne le touche pas” (1 Jean 5. 18). Pour que cette nouvelle vie puisse s’exprimer librement, pour pouvoir plaire à Dieu, il y a une condition préalable : réaliser que notre vieille nature est morte ! C’est ce que nous dit Paul en Romains 6. 6 : “Sachant ceci, que notre vieil homme a été crucifié avec lui [Christ]… pour que nous ne soyons plus asservis au péché”. Remercions Dieu pour ces certitudes concernant notre capacité à faire le bien et à être gardés du mal.

Nous avons de la difficulté à mettre ces vérités en pratique, mais ne perdons pas courage, et n’oublions pas que dans ce combat, nous ne sommes pas seuls. L’apôtre nous encourage et nous avertit : “Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint Esprit qui est en vous et que vous avez de Dieu ?” (1 Corinthiens 6. 19). Dans ce domaine, comme dans tous les autres, nous pouvons prier notre Père. Nous recevons cette promesse merveilleuse : “Si nous savons qu’il nous écoute, quoi que ce soit que nous demandions, nous savons que nous avons les choses que nous lui avons demandées” (1 Jean 5. 15).

Nous avons donc évoqué quelques domaines de notre vie pratique : la sainteté, la marche par l’Esprit, la prière. Il y en a beaucoup d’autres. Souvenons-nous de cette assurance que Dieu nous donne pour l’ensemble de notre vie : “Nous savons que toutes choses travaillent ensemble pour le bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein” (Romains 8. 28).