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Le Seigneur est proche

Dieu, dans sa demeure sainte, est le père des orphelins et le juge des veuves. Dieu fait habiter en famille ceux qui étaient seuls ; il fait sortir ceux qui étaient enchaînés, pour qu’ils jouissent de l’abondance.
Psaume 68. 5, 6
Laisse tes orphelins, moi je les garderai en vie, et que tes veuves se confient en moi.
Jérémie 49. 11
Les soins de Dieu envers les veuves et les orphelins

Il est touchant de voir dans l’Écriture avec quel amour Dieu s’occupe des veuves et des orphelins. Notre Dieu créateur prend soin de ses créatures. Plus elles sont démunies, plus il se soucie d’elles. “Il donne la nourriture au bétail, et aux petits du corbeau qui crient. Il ne trouve pas son plaisir en la force du cheval, il ne se complaît pas aux jambes de l’homme. Le plaisir de l’Éternel est en ceux qui le craignent, en ceux qui s’attendent à sa bonté” (Psaume 147. 9-11). Il dit encore : “Ma grâce te suffit, car ma puissance s’accomplit dans la faiblesse” (2 Corinthiens 12. 9).

Notre Dieu créateur a créé la femme pour être une aide pour l’homme à qui il donne la responsabilité de la nourrir et de la chérir (voir Genèse 2. 18 ; Éphésiens 5. 28, 29). Aucun n’est indépendant, mais chacun a besoin de l’autre. Le décès d’un des conjoints est donc une grande perte pour l’autre, mais peut-être plus spécialement pour les veuves qui peuvent se trouver sans ressources.

Privés de père ou de mère, les orphelins connaissent aussi des situations difficiles. Le rôle du père et celui de la mère sont complémentaires et il peut se créer un déséquilibre au niveau de leur éducation. Le manque de ressources des veuves peut aussi affecter leurs enfants.

La société est toujours prête à tirer profit des veuves et des orphelins. Une veuve au temps de la Bible était très vulnérable. Le monde était alors essentiellement un monde d’hommes. Cela est vrai, même aujourd’hui, dans une grande partie du monde. Mais Dieu était, et est toujours, aux côtés des êtres sans défense et des faibles. Quelle reconnaissance de pouvoir affirmer : “Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ?” (Romains 8. 31) !

d’après E.P. Vedder

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