Le Seigneur est proche
Certains affirment que Dieu est un spectateur indifférent face à l’agonie de l’humanité, et qu’il ne s’intéresse pas aux affaires de ce monde. Est-ce là vraiment l’attitude de Dieu ? Ou bien est-ce une calomnie inspirée par le diable à l’égard de la sainte Personne de Dieu ? C’est l’un ou c’est l’autre, il ne peut pas y avoir de juste milieu.
Nous reconnaissons la grandeur de Dieu ; de jour comme de nuit, nous pouvons lire l’histoire de sa puissance et de sa gloire (Psaume 19. 1-3), mais est-ce là tout ce que nous connaissons de Lui ? Nous pouvons être saisis d’admiration devant la grandeur de sa gloire sans limite, mais si c’est tout ce que nous connaissons de Lui, cela ne nous procure aucun réconfort, et nous ne pouvons pas dire si Dieu accorde de l’importance à ses créatures ou non. S’il en est ainsi, il n’y a pas de réponse à notre question.
Mais ce n’est pas tout ce que nous savons. Dieu a choisi une manière merveilleuse de nous en dire plus. Il nous a envoyé, non pas un ange, mais son propre Fils, et de la bouche de JÉSUS, nous avons appris que pas un moineau ne tombe à terre sans sa permission (Matthieu 10. 29). Celui dont la parole puissante soutient les mondes qu’il a formés (voir Hébreux 1. 2, 3) s’intéresse aux plus faibles, aux plus insignifiantes de ses créatures. Il n’est donc pas indifférent quand ses créatures souffrent. Si Dieu a pitié du moineau qui tombe, il se penche aussi avec compassion sur la souffrance humaine. Jésus a ajouté : “Quant à vous, les cheveux même de votre tête sont tous comptés. Ne craignez donc pas ; vous valez mieux que beaucoup de moineaux” (v. 30, 31).
Oui, Dieu s’intéresse à sa créature. Il l’a prouvé de mille manières, mais principalement en donnant son Fils unique afin qu’il meure pour sauver les hommes.
Nous nous adressons aux éprouvés et à ceux qui ont le cœur brisé, et surtout à ceux qui ne connaissent pas encore Dieu, pour qu’ils se confient en lui et lui apportent leurs malheurs. Dieu écoutera votre cri, pardonnera vos péchés, vous donnera une consolation éternelle, une place et une part dans ce monde à venir où seront tous ses rachetés et où Dieu “essuiera toute larme de leurs yeux” (Apocalypse 21. 4).