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La Bonne Semence

Il y avait des bergers qui demeuraient aux champs… Un ange du Seigneur se trouva avec eux… [Il] leur dit : N’ayez pas peur, car voici, je vous annonce une bonne nouvelle, un grand sujet de joie… Aujourd’hui, dans la cité de David, vous est né un sauveur, qui est le Christ, le Seigneur.
Luc 2. 8-11
Le pouvoir de l’amour

L’ancien ministre allemand Hans Apel (1932-2011), a expliqué avoir une fascination particulière pour Jésus Christ.

Il s’est concentré sur le début et la fin de la vie de Jésus sur la terre : la crèche et la croix. Voici un résumé de son discours : “Selon les normes humaines, j’avais un grand pouvoir en tant que ministre. Mais que signifie cette puissance, comparée à celle qui brille dans l’étable de Bethléem ? À première vue, on y voit plus de faiblesse que de puissance. Celui que les chrétiens reconnaissent comme le Créateur de l’univers repose dans la crèche : un petit enfant sans défense ! Trente-trois ans plus tard, apparemment aussi sans puissance, Jésus est cloué sur une croix ! Mais le Fils de Dieu, qui est volontairement devenu un nouveau-né sans défense, et se laisse ensuite crucifier pour moi, démontre un autre type de puissance : Il révèle le pouvoir de l’amour ! Ce qu’il a fait dépasse l’entendement humain.”

Que Jésus, le Fils de Dieu, soit dans la crèche ou sur la croix, il bouleverse nos représentations de la force et de la puissance. En Jésus Christ, l’amour de Dieu s’intéresse à tous les humains, y compris les pauvres et les malheureux. Le Fils de Dieu se fait néant et devient homme. Il vit dans la pauvreté, “afin que par sa pauvreté vous soyez enrichis” (2 Corinthiens 8. 9). Il meurt sur la croix pour subir à notre place le châtiment de notre culpabilité. Dieu peut-il démontrer plus clairement la puissance de son amour ?

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