On ne parlait pas d’écologie à l’époque de Jésus ! Mais lui connaissait la nature. Il l’avait créée !

Jésus illustre souvent son enseignement par des images tirées de la nature. Ainsi, il se compare à un grain de blé qui meurt pour produire des épis ; ou à de l’eau qui désaltère vraiment ; à un cep de vigne, qui transmet la nourriture aux sarments que sont ses disciples ; à un berger qui meurt pour sauver une brebis perdue, à une lumière éclairant le monde.

Pour secourir des personnes en danger, malades, ou porteuses d’un handicap, il intervient miraculeusement en utilisant l’eau d’un réservoir (pour un homme paralysé) ou de la terre dont il fait de la boue avec sa salive (pour un aveugle). Il prouve qu’il domine les éléments naturels…

Ainsi, la nature est utilisée par Jésus comme un moyen de nous révéler quelque chose de Dieu. En l’observant, nous apprenons à faire confiance au Créateur, qui l’a créée si belle, si diverse, si minutieusement agencée pour maintenir la vie. Elle nous parle de l’intelligence de Dieu, de son amour du beau, de la vie, elle nous montre un Dieu infini mais aimant.

Pour le connaître, il nous a aussi laissé un livre, la Bible. Laissons donc la semence de la Parole de Dieu (encore une image que Jésus emprunte à la nature !) atteindre nos cœurs et nos consciences. Alors, nous reconnaîtrons les droits de Dieu sur nous, nous lui demanderons pardon pour l’avoir si souvent ignoré et offensé, et nous croirons au sacrifice de Jésus pour nous réconcilier avec lui et nous donner une nouvelle vie.