Toute l’histoire de l’humanité depuis la création a montré que je suis définitivement incapable, par mes propres moyens, de répondre à ce que Dieu attend de moi. En envoyant Jésus, Dieu prend les choses en main pour me sauver. Jésus Christ a porté sur la croix le jugement que je méritais comme pécheur ; il ne s’agit plus de faire de bonnes actions dans le but d’être sauvé, mais d’accepter l’œuvre accomplie par Jésus Christ pour moi. C’est Dieu qui agit, et moi qui reçois, Dieu qui donne et moi qui accepte !

Ce salut est-il définitif ? Oui ! Jésus m’a sauvé alors que j’en étais incapable ; j’en suis toujours incapable aujourd’hui ! Mes péchés le montrent bien. Il ne s’attend donc pas à ce que je conserve mon salut par mes efforts et mes œuvres. Mon salut, c’est un don de Dieu ! Il ne veut pas voir son enfant vivre dans l’angoisse permanente de le perdre ! Au contraire, il m’invite avec insistance à me réjouir toujours dans le Seigneur (Philippiens 4. 4). Est-ce que je pourrais me réjouir en permanence si je vivais dans la peur de perdre mon salut ?

Si je me conduis mal, alors Dieu agira pour m’arrêter dans ce mauvais chemin et me ramener à lui. Il ne me reniera jamais, mais me corrigera comme un père, parce que je suis son enfant et qu’il m’aime (Hébreux 12. 5-8). Je suis son enfant, je le resterai jusqu’au bout !