Quand je regarde tes cieux, l’ouvrage de tes doigts, la lune et les étoiles que tu as disposées : Qu’est-ce que l’homme, que tu te souviennes de lui, et le fils de l’homme, que tu le visites ?
Psaume 8. 4-5
Ô Dieu, mon Créateur, qui suis-je pour te parler ?
Pourquoi me cherches-tu, en t’approchant si près ?
Comment un Dieu si saint peut-il me regarder,
Voir ma vie, mes échecs, et toujours m’accepter ?
Si je peux te connaître, t’entendre me parler,
Ce n’est pas par moi-même, ni par mes qualités,
Mais par l’immense prix, payé avec le sang
De la mort de Jésus, ton Fils, un innocent.
Journée après journée, endroit après endroit,
Tu restes à mes côtés, toujours auprès de moi,
Jamais je ne suis seule, jamais abandonnée,
Ton amour se discerne dans ta proximité.
Jésus m’ouvre son ciel ; j’y entre par la foi,
Je me sais protégée par l’ombre de la croix,
En paix, réconciliée, j’approche sans effroi :
Tu es amour et grâce, pour celui qui te croit !
Tes yeux, sans jugement, mais remplis de douceur,
Se posent sur mon cœur, regardent sa blancheur…
Tu m’as justifiée, je n’ai plus de péché,
De culpabilité… Oui, Jésus m’a sauvée !
Le Dieu de vérité est aussi Dieu de paix,
D’amour et de bonté, de grâce imméritée,
Tu m’aimes, je le sais, ma vie est dirigée
Par le Dieu Tout-Puissant, à qui je peux parler.
Valentine