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La Bonne Semence

Tu aimeras… ton prochain comme toi-même.
Luc 10. 27
Lequel de ces trois te semble avoir été le prochain de celui qui était tombé entre les mains des brigands ? Il dit : C’est celui qui a usé de miséricorde envers lui. Jésus lui dit : Va, et toi fais de même.
Luc 10. 36-37
Jésus, mon prochain

Dans l’évangile, Jésus raconte l’histoire du “bon Samaritain”. Ses auditeurs méprisaient les Samaritains. C’est pourtant un Samaritain qui s’approche d’un homme agressé et laissé grièvement blessé au bord de la route. Les autres passants… ne font que passer. Même les religieux de l’époque, dont on pourrait attendre qu’ils cherchent quelque bonne œuvre à faire pour plaire à Dieu, font semblant de ne pas voir.

Heureusement, il y a cet étranger, ce Samaritain dont on n’attendait rien. C’est lui qui s’arrête, prend la peine de se pencher sur le blessé, de le soigner dans l’urgence, puis de le confier à quelqu’un pour qu’il s’en occupe jusqu’à son complet rétablissement, s’engageant à payer les soins. Oui, cet homme mérite bien le qualificatif de “bon” : il s’est occupé de “son prochain” (la personne à côté de lui) d’une façon touchante et désintéressée ; il l’a aimé “comme lui-même”… Mais Jésus nous invite à aller plus loin ! Il inverse les rôles, disant que le “prochain” à aimer est celui qui a aidé le malheureux blessé !

Ai-je besoin de quelqu’un pour me sortir d’une situation sans issue ? Ai-je été blessé ? Oui ! Pas physiquement, au coin d’une rue, mais par une vie rendue difficile à cause de mon péché et de l’état du monde éloigné de Dieu. Ai-je été secouru ? Oui ! Par Jésus, venu sur cette terre pour s’approcher de moi et tout donner afin de me relever. C’est lui mon prochain, c’est lui que je peux, maintenant, aimer de tout mon cœur, en étant reconnaissant pour ce qu’il a fait en ma faveur. “Le Seigneur est proche” (Philippiens 4. 5).

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