Devant les difficultés qui s’abattent sur le monde, le chrétien n’est pas fataliste. Il sait que ce que dit la Bible est vrai et s’accomplira. Il le sait parce que Dieu ne ment pas, et que, jusqu’ici, tout ce qu’elle annonçait est arrivé.

Il ne s’agit pas d’attendre la fin du monde sans bouger, mais d’être prêts à annoncer à nos contemporains l’excellente nouvelle du salut. Jésus ne nous demande pas de changer la société, mais de dire à tous la délivrance que Dieu offre à chacun, dans son immense amour. Cette bonne nouvelle ne consiste pas à mettre en œuvre des stratégies pour imposer une autre vision du monde. De telles tentatives n’ont que des effets très limités. La bonne nouvelle, c’est que Dieu aime les hommes, les femmes et les enfants que nous sommes, pourtant désobéissants. Jésus est venu le prouver sur la croix en subissant le jugement de Dieu que nous méritions. Celui qui croit en son sacrifice a la certitude d’être pardonné de ses fautes, et reçoit une vie nouvelle qu’il vaut la peine d’expérimenter aujourd’hui, en attendant le bonheur parfait en sa présence.

Il y a urgence. La question est posée à chacun : Êtes-vous sauvé, assuré de votre avenir éternel ? Avez-vous accepté Jésus dans votre cœur ? Une chose est certaine : au bout du chemin de la vie, il faudra rendre des comptes à Celui qui nous a créés : “il est réservé aux hommes de mourir une fois – et après cela le jugement” (Hébreux 9. 27). Alors, “prépare-toi… à rencontrer ton Dieu” (Amos 4. 12). Mieux vaut le faire immédiatement, l’instant qui suit ne nous appartient pas.