Un homme âgé réagit vivement en lisant le tract qu’on lui propose :

– La vie après la mort ? Quelle folie ! La fin de la vie, c’est d’être enterré à 2 mètres sous le sol !

– Vous ne croyez donc pas à une vie après la mort ?

– Non !

– Et si vous vous trompiez ?

– Si je me fais incinérer, la question sera réglée…

Réponse de parade, dont malheureusement de nombreuses personnes essaient de se satisfaire. Mais cette question est trop importante, et de moins en moins facile à évacuer, plus on voit la mort approcher.

L’homme serait-il donc destiné à naître, vivre et mourir comme un animal ? Et son passif, peut-être lourd, automatiquement effacé par une épaisseur de terre ou par le feu de la crémation ?

L’homme est un être responsable devant son Créateur. Dieu, qui a créé tout l’univers, est également capable de ressusciter nos corps ! Rien n’est perdu pour lui. À la mort de notre corps, notre “esprit retourne à Dieu qui l’a donné” (Ecclésiaste 12. 7). Jésus nous dit : “Il n’y a rien de couvert qui ne sera révélé, ni rien de secret qui ne sera connu” (Luc 12. 2). Et il faudra en rendre compte.

Mais allez à lui maintenant ! Son pardon vous est offert si vous croyez que le sang de Jésus Christ son Fils, mort sur la croix, vous lave de vos péchés. À cette condition, pour le croyant, la mort est une délivrance. Jésus a dit au malfaiteur repentant sur la croix : “En vérité, je te dis : Aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis” (Luc 23. 43).