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La Bonne Semence

Au jour de ma détresse j’ai cherché le Seigneur.
Psaume 77. 3
Il n’oublie pas le cri des affligés.
Psaume 9. 13
Jésus et le deuil

L’existence de la mort est une conséquence directe de la désobéissance de l’être humain à Dieu (Genèse 2. 17). Mais Jésus donne des certitudes et une espérance devant la mort. Il est venu comme homme sur la terre pour vaincre la mort. Il dit à l’apôtre Jean : “J’ai été mort, et voici je suis vivant aux siècles des siècles” (Apocalypse 1. 18). Tous ceux qui croient en lui bénéficient de sa victoire remportée à la croix.

Jésus a été proche de ceux qu’il a rencontrés dans le deuil. Dans une famille amie, les sœurs du défunt lui disent, l’une après l’autre : “Seigneur, si tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort” (Jean 11. 21, 32). C’était reconnaître sa puissance, tout en exprimant de profonds regrets. Devant la mort d’un être cher, nous pourrions éprouver les mêmes sentiments. Pourquoi Jésus n’est-il pas intervenu ? Alors, Jésus pleure avec ses amies Marthe et Marie (Jean 11. 35). Puis il ressuscite leur frère, dans son amour et sa puissance divine (v. 43, 44).

Une autre fois, Jésus est confronté à la douleur d’une veuve qui vient de perdre son fils unique. Il est ému de compassion et lui dit : “Ne pleure pas”. Puis il ressuscite son fils (Luc 7. 12-17). Ces “sursis” de vie n’ont été que temporels : ce n’était pas encore la résurrection de tous les croyants au retour du Seigneur.

Mais Jésus n’est pas seulement celui qui a la puissance de changer les circonstances. Il veut surtout nous accompagner même dans ce qui est le plus douloureux. Il n’ignore rien de ce qui nous écrase, il veut nous consoler et nous faire découvrir que son amour et sa présence sont des réalités vivantes.

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