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La Bonne Semence

Jésus leur répondit :… Quiconque pratique le péché est esclave du péché. Or l’esclave ne demeure pas dans la maison pour toujours ; le fils y demeure pour toujours. Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres.
Jean 8. 34-36
Devoir de mémoire

Les rues de nos villes portent parfois le nom de personnes connues pour leur engagement politique, militaire, scientifique, ou pour des actes de bravoure.

Plusieurs villes de France ont voulu rendre hommage au colonel Beltrame qui, le 23 mars 2018, lors d’un attentat dans un supermarché, s’est offert en échange d’un otage. Il a perdu la vie quelques heures plus tard. Un journal local écrivait : “Ce gendarme est mort pour sauver une inconnue, parce qu’il était un homme de bien… Il est mort pour que nous puissions vivre aujourd’hui librement… Il est désormais de notre devoir d’honorer sa mémoire.”

Ce devoir de mémoire est légitime et il nous interpelle. Toutefois, pensons encore aujourd’hui à cet Homme, Jésus, qui a sacrifié sa vie pour les autres ! “Il s’est donné lui-même en rançon pour tous” (1 Timothée 2. 6). Lui seul, innocent, pouvait mourir à notre place pour que nous soyons aujourd’hui en liberté (Galates 5. 1).

On dira peut-être : “Je ne suis pas concerné ! Je ne suis ni otage, ni privé de ma liberté !” Pourtant, de multiples chaînes, invisibles mais bien réelles, nous privent de la vraie liberté à laquelle nous aspirons au plus profond de notre être. Les principes qui gouvernent le monde actuel enchaînent l’homme. Les convoitises de notre cœur nous prennent en otage (Tite 3. 3). Nous sommes esclaves du péché (Romains 6. 17), du monde (Galates 4. 3) et du diable (Actes 10. 38). Admettons notre situation et recevons la liberté que Dieu nous offre, en croyant en Jésus Christ, mort sur la croix de Golgotha, et ressuscité.

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