Une revue publie des photos insoutenables prises dans un orphelinat d’un pays où sévit la misère. Elles montrent des enfants maigres, au regard vide, suçant leur pouce en attendant… quel avenir ? L’article qui suit explique que leur principal problème n’est pas vraiment l’absence de soins, mais l’absence d’amour.

En fait, ce besoin d’amour, chaque être humain l’éprouve dès sa naissance, jusqu’à son dernier soupir. Nous le connaissons tous, ce besoin d’affection, ce désir de se confier, de partager avec un autre nos propres angoisses, même si nous nous demandons bien qui pourrait nous aider…

Parfois, nous nous mettons à rêver que ce Dieu, que nous connaissons mal, pourrait, lui, s’intéresser à nous. Mais quand nous pensons à notre conduite, si souvent éloignée de sa volonté, nous nous persuadons qu’il ne pourrait que nous punir…

Dieu pourrait nous punir… non ! Il a une réponse : il nous a aimés et a apporté une solution au problème de notre vie tellement entachée de fautes. Il a envoyé vers nous son Fils unique et bien-aimé, le Seigneur Jésus Christ qui, sur la croix, est mort pour porter la peine de nos péchés, puis est ressuscité. C’est ce qu’affirme la Bible, Parole de Dieu. Si Dieu nous a aimés d’un tel amour, il presse chacun d’entre nous de le recevoir personnellement. C’est-à-dire accepter le Seigneur Jésus comme celui qui nous délivre de notre culpabilité, mais aussi de tous les manques que nous éprouvons. Il est l’ami fidèle qui veut et peut nous donner la paix aujourd’hui. “Dieu est amour” (1 Jean 4. 8).