La Bonne Semence
L’homme, doté d’une conscience, pressent fort bien qu’une mauvaise action peut lui attirer des ennuis, voire le conduire au tribunal. Il a donc tendance à préparer sa défense, ou se chercher des excuses… au cas où il lui faudrait rendre des comptes à Dieu ! Religion, morale, philosophie, psychanalyse prétendent disculper, ou amoindrir les fautes, même parfois les justifier. Et quand les fautes sont difficiles à contester, l’homme cherche à les compenser : jeûne, prières, retraites, actes de contrition, bonnes actions, engagement social ou humanitaire, sont autant de moyens dont on espère qu’ils pourront “équilibrer la balance” de nos erreurs, le jour où nous devrons rendre des comptes concernant notre vie. Mais Dieu ne voit pas les choses de cette manière. Une faute, quelle qu’elle soit, doit être jugée, condamnée et punie. La Bible dit : “Il n’y a pas de juste, non pas même un seul” (Romains 3. 10). L’homme est placé sous une condamnation incontournable, et ses efforts ne peuvent rien y changer.
Mais la Bible ne dit pas que cela… Elle nous révèle que Dieu aime ceux qu’il doit juger, qu’il les a aimés au point de tout prévoir pour les acquitter. À la croix, il a condamné Jésus à leur place, de sorte qu’ils sont maintenant libres de toute accusation s’ils mettent leur confiance dans celui qui a payé à leur place.
Si jusqu’à aujourd’hui vous pensiez avoir des arguments à présenter à Dieu pour votre défense au jour du jugement, abandonnez-les, et présentez-lui le seul qu’il accepte : “Je crois en Jésus, mort pour moi”.