Cet homme handicapé qui mendiait à Jérusalem a été miraculeusement guéri. Tous les témoins l’ont déclaré. Mais les apôtres Pierre et Jean n’ont pas accompli ce miracle grâce à leurs compétences personnelles. Ils ont expliqué qu’ils avaient agi par la puissance de Jésus, ce Jésus qui avait fait beaucoup de bien, mais qui avait été mis à mort peu de temps auparavant.

Le mendiant était heureux d’avoir retrouvé la santé. Et cette guérison allait aussi impacter tous les habitants de Jérusalem. C’était un puissant témoignage qu’un autre Homme, nommé Jésus, n’était pas resté dans la mort, mais qu’il était ressuscité.

Si les apôtres, avec aussi beaucoup d’autres, pouvaient affirmer qu’ils l’avaient vu ressuscité, cette guérison de l’homme handicapé venait confirmer que Jésus Christ était véritablement ressuscité. Même si Jésus n’était plus sur la terre, Pierre et Jean avaient agi en son nom. C’était la preuve, comme Pierre l’a déclaré, que Dieu avait reçu Jésus dans le ciel, et l’avait glorifié. Ce fait inexplicable était ainsi attesté devant le monde (Actes 3. 12-16).

Il en résulte des conséquences capitales pour toute l’humanité. Le Fils de Dieu a été autrefois crucifié par les hommes, mais il est établi par Dieu Juge des vivants et des morts (Actes 10. 42). Toutefois, le verset suivant nous indique : “Quiconque croit en lui reçoit le pardon des péchés”. Il y a donc une question essentielle : reconnaissons-nous que Christ est ressuscité, et le connaissons-nous comme notre Sauveur ?