Le mot “évangile” signifie : “bonne nouvelle”. Y a-t-il une meilleure nouvelle que d’apprendre que Dieu pardonne tout le mal que nous avons commis ?

Pourtant cette bonne nouvelle est précédée d’une très mauvaise nouvelle. Oui, Dieu affirme clairement dans la Bible que nous sommes tous perdus, méritant son juste jugement à cause du mal qui caractérise chacune de nos vies.

Des psychologues diront que le sentiment de culpabilité est négatif et destructeur, et qu’il nuit à l’épanouissement de la personnalité. Effectivement, si nous en restons au constat de nos fautes, il y a de quoi être pessimiste, car la Bible déclare : “Il est réservé aux hommes de mourir une fois, et après cela le jugement” (Hébreux 9. 27). Lorsque nous réalisons notre culpabilité et que nous l’apportons à Jésus Christ dans la prière, nous connaissons la délivrance qu’il nous a acquise par sa mort sur la croix. Cette bonne nouvelle du salut que Dieu offre encore à chacun nous donne la paix et une merveilleuse espérance.

Un médecin pourrait quelquefois hésiter à annoncer à son patient la gravité de son état lorsqu’il n’a aucun remède à lui proposer. En revanche c’est sans aucune hésitation qu’il déclarera au malade son mal lorsqu’il connaît un traitement approprié pour le guérir. De même, si Dieu nous déclare notre état, c’est parce qu’il nous a envoyé le remède : Jésus Christ, son Fils, est venu souffrir et mourir pour nous sauver. Quelle bonne nouvelle !