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La Bonne Semence

Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal.
Ésaïe 5. 20
Notre grand Dieu et Sauveur Jésus Christ… s’est donné lui-même pour nous, afin de nous racheter de toute iniquité et de purifier pour lui-même un peuple qui lui appartienne en propre, zélé pour les bonnes œuvres.
Tite 2. 13, 14
Confusion morale

“Notre monde a perdu la boussole, nous naviguons à vue, bousculés par les événements, errant où le vent nous emporte. Il nous faut reprendre un cap.” Ce constat d’un neuropsychiatre résume bien l’état de notre société occidentale. La morale traditionnelle basée sur notre histoire judéo-chrétienne est considérée comme obsolète. Les comités d’éthique prétendent alors donner une orientation morale sur des bases qui sont variables. La conscience est modelée par les faiseurs d’opinions, influenceurs de tous ordres.

Le croyant sait que Dieu ne change pas. Quel cap reprendre, si ce n’est revenir à la loi morale de celui qui nous a créés ? Dieu nous l’a donnée dans la Bible, seule référence universelle du bien et du mal. Elle dit entre autres : “Tu ne convoiteras pas” (Exode 20. 17). Pourtant, ne sommes-nous pas souvent guidés par nos désirs et nos convoitises ? Et à ce sujet, qui peut changer de cap ? Nous devons tous accepter notre incapacité, notre échec devant les exigences de Dieu.

Mais si Dieu ne change pas dans sa nature sainte, il est aussi immuable dans son amour. Il a envoyé son Fils Jésus Christ dans ce monde déboussolé. Là, Jésus a accompli parfaitement la loi divine. Sur la croix, il s’est chargé lui-même du mal qui remplissait nos cœurs, pour nous “purifier de toute iniquité”. Il en a supporté la peine pour tous ceux qui se repentent. Et, merveille ! il leur donne une vie nouvelle pour constituer pour Dieu “un peuple qui lui appartienne en propre, zélé pour les bonnes œuvres”. Oui, le cap, c’est Jésus. Est-il votre grand Dieu Sauveur ?

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