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La Bonne Semence

Dans la multitude des pensées qui étaient au-dedans de moi, tes consolations ont fait les délices de mon âme.
Psaume 94. 19
Le Père des miséricordes et le Dieu de toute consolation… nous console à l’égard de toute notre affliction.
2 Corinthiens 1. 3, 4
Compris et consolés

Nous sommes généralement sensibles à l’intérêt que l’on nous porte et affectés par l’indifférence. Nous le sommes bien davantage lorsque nous vivons des moments difficiles. Le Seigneur Jésus, comme Homme parfait sur la terre, a profondément ressenti l’abandon des hommes, surtout de la part de son peuple. Il a été en toutes choses semblable à nous, à part le péché (Hébreux 4. 15), et il est en mesure de comprendre pleinement nos peines et nos détresses. Il a pleuré, avec ceux qui pleuraient (Jean 11. 35).

Que serait la vie du chrétien s’il ne pouvait compter sur cet appui divin ? L’être humain a besoin d’être écouté, compris et encouragé, spécialement lorsqu’il souffre. Dieu n’est jamais insensible à l’affliction des hommes, en particulier à celle de ses enfants, c’est-à-dire ceux qui croient en lui (Jean 1. 12). Savoir que nous sommes enfants de Dieu est une grande consolation et un encouragement. Si nous sommes parfois déçus, même par nos proches, nous avons la certitude que le Seigneur, lui, est fidèle. Lorsque l’apôtre Paul a dû constater que tous l’avaient abandonné, il a ressenti le réconfort suprême de Jésus qui se tient près des siens (2 Timothée 4. 16, 17). Même rachetés et sauvés, les enfants de Dieu souffrent à cause des conséquences du péché dans le monde (vieillesse, maladie…). Ils connaissent peines et épreuves, comme toute autre personne, mais ils ont l’immense privilège de savoir que la main du Père céleste est sur eux, que c’est lui qui les console (Ésaïe 51. 12).

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