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La Bonne Semence

Comme [Jésus] parlait encore, des gens arrivent de chez le chef de synagogue ; ils disent [à Jaïrus] : Ta fille est morte ; pourquoi importuner encore le maître ? Mais aussitôt, Jésus, ayant entendu ces paroles, dit au chef de synagogue : Ne crains pas, crois seulement.
Marc 5. 35, 36
Jésus et les parents (4) – Marc 5. 21-43

Jaïrus, un chef de synagogue, supplie Jésus de venir pour sa fille de douze ans, qui est mourante. Jésus se met en route, mais en chemin, une femme malade depuis douze ans fait appel à lui pour être guérie. Jésus s’arrête et prend le temps de s’occuper d’elle.

Quelle angoisse pour ce père : Jésus se laisse retarder par cette femme, tandis que sa fille se meurt ! En effet, la terrible nouvelle parvient bientôt à Jaïrus : “Ta fille est morte, pourquoi importuner encore le maître ?”

En entendant cela, Jésus le rassure : “Ne crains pas, crois seulement”. Et il poursuit son chemin jusqu’à la maison. À ceux qui mènent deuil à grand bruit, Jésus dit : “L’enfant n’est pas morte, mais elle dort”. On se moque de lui. Mais il met tout le monde dehors, prenant seulement avec lui les parents et trois disciples. Il entre dans la chambre où l’enfant repose sur le lit, lui prend la main et lui ordonne de se lever. Aussitôt elle se lève et marche. Jésus se retire, non sans avoir recommandé aux parents de donner à manger à leur fille.

– Jésus n’agit pas comme dans le récit précédent, il se rend cette fois au chevet de l’enfant.

– L’état spirituel de notre enfant peut empirer jusqu’à sembler désespéré. Si notre entourage se montre sceptique sur les possibilités de changement, “ne craignons pas ; croyons seulement”.

– L’enfant ressuscitée fait penser à un jeune converti à Christ, dont la vie nouvelle a besoin de nourriture. Le Seigneur invite les parents à la nourrir.

– Il parle aussi aux parents et soutient leur foi.

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