Une grande inondation a dévasté un village d’Asie du Sud-ouest, et un groupe d’étrangers est venu aider à tout reconstruire. Mais des guerriers de la tribu dirigée par leur chef Jalal les ont attaqués plusieurs fois en brûlant leurs tentes.

En plus de l’aide apportée, les étrangers racontaient des histoires sur les anciens prophètes de la Bible. Jalal était en colère, mais ce qui le surprenait le plus, c’est qu’ils ne ripostaient pas à ses attaques et montraient ainsi une force qu’il ne connaissait pas. Pendant des mois, Jalal les a observés à la jumelle depuis les montagnes. Finalement, une nuit il est descendu au village, et a entendu lui-même ces récits sur les prophètes… et aussi sur Jésus.

Un soir où il était revenu les écouter, il a pensé à tout le mal qu’il avait fait, à tous les gens qu’il avait frappés et tués. Huit mois plus tard, on l’invite à regarder un film qui parle de la vie d’Isa (Jésus) dans la langue de sa tribu. Ému aux larmes, il demande à ses hommes de mettre leurs armes dans un coin, par respect pour le film.

Quelques mois plus tard, à la fin d’une réunion, Jalal déclare : “Je vous ai frappés, j’ai tiré sur vous… Quelle est la punition, selon votre foi, pour tous les péchés que j’ai commis contre vous ?” On lui répond : “Aucune. Il n’y a pas de punition pour toi. Nous t’aimons”.

Six ans plus tard, en 2013, Jalal déclare : “Jésus est ma vie. C’est une ombre sous laquelle je vis et j’éprouve la paix. Il est Dieu. Mon corps tout entier lui appartient.”

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