Comment expliquer l’apparition des atomes dans un univers vide ? Comment comprendre ce merveilleux phénomène qu’est la vie ? Comment maîtriser tous les détails de la fabuleuse mécanique d’un corps humain ? Notre raison achoppe devant ces mystères. Et comment admettre l’existence du mal, que tout le monde condamne… et que tout le monde fait plus ou moins ? Comment comprendre que l’être humain soit en permanence déchiré entre le meilleur et le pire, capable de l’un comme de l’autre ? Nos lumières ne vont pas assez loin pour nous permettre d’y voir clair.

Certes, notre raison est une extraordinaire faculté que Dieu nous a donnée… pour que nous en fassions bon usage. Or, nous l’utilisons pour tenter de nous passer de Dieu. Quel non-sens ! Au lieu de nous libérer, nos prétendues lumières nous ont asservis. Elles ont permis d’indéniables progrès sociaux, mais en donnant à l’être humain la place qui revient à Dieu. Et si l’homme se prend pour Dieu, même ce qu’il fait de mieux est entaché par son égoïsme, son orgueil, sa méchanceté intrinsèque, ses contradictions. Le résultat est que ce progrès n’empêche pas un nombre toujours plus impressionnant de guerres, de situations familiales rocambolesques, une solitude aussi grande que les moyens de communication censés la combler… On marche sur la tête ! Nous prétendant sages, nous sommes devenus fous… (Romains 1. 22).

Tout espoir n’est pourtant pas perdu. Jésus se présente comme la lumière du monde. Il attend que chacun vienne à lui avec foi, pour éclairer son cœur et sa raison, et lui donner la vie éternelle… Chacun !