Ces versets contiennent : les dernières recommandations de l’apôtre, quelques nouvelles qu’il donne, enfin les salutations qu’il adresse à ses chers Corinthiens. Parmi eux, il se plaît à reconnaître des frères dévoués et dignes de respect : Stéphanas, Fortunat, Achaïque, et il les leur cite en exemple (comparer 1 Timothée 3. 13).
À ces croyants de Corinthe qui ne s’occupaient que des effets extérieurs et spectaculaires du christianisme, Paul a souligné successivement quels motifs devaient les faire agir :
C’est sur ce mot amour que Paul achève une épître pourtant si sévère (comparer 2 Corinthiens 7. 8). Sans tenir compte des partis qui existaient à Corinthe, il affirme : « Mon amour est avec vous tous dans le Christ Jésus ». Toutefois, étant donné cette dernière condition, s’il y en avait qui n’aimaient pas le Seigneur, ils s’excluaient eux-mêmes de cette salutation et sa venue prenait pour eux un caractère solennel. « Maranatha » ! Le Seigneur vient. Puissions-nous l’attendre avec joie !