|| Aimé d’une affection particulière • Jésus est le Fils bien-aimé du Père (Matthieu 3. 17 ; 12. 18 ; 17. 5 ; Marc 1. 11 ; 9. 7 ; Luc 3. 22 ; 9. 35 ; 2 Pierre 1. 17). Dans la parabole, le maître de la vigne envoya son fils bien-aimé afin de recevoir du fruit de la vigne (Marc 12. 6 ; Luc 20. 13). Les apôtres et les anciens emploient ce terme à l’égard de Paul et Barnabas (Actes 15. 25) et Pierre à l’égard de Paul (2 Pierre 3. 15). Paul emploie fréquemment ce terme à l’égard des croyants d’une assemblée (Romains 1. 7 ; 12. 19 ; 1 Corinthiens 4. 14 ; 10. 14 ; 15. 58 ; 2 Corinthiens 7. 1 ; 12. 19 ; Éphésiens 5. 1 ; Philippiens 2. 12 ; 4. 1 (2x) ; Hébreux 6. 9), de même que Jacques (Jacques 1. 16, 19 ; 2. 5), Pierre (1 Pierre 2. 11 ; 4. 12 ; 2 Pierre 3. 1, 8, 14, 15, 17), Jean (1 Jean 2. 7 ; 3. 2, 21 ; 4. 1, 7, 11) et Jude (Jude 3, 17, 20). Ce qualificatif est donné à une croyante, Persis (Romains 16. 12), et à plusieurs croyants : Épaïnète (Romains 16. 5), Amplias (v. 8), Stachys (v. 9), Timothée (1 Corinthiens 4. 17 ; 2 Timothée 1. 2), Tychique (Éphésiens 6. 21 ; Colossiens 4. 7), Épaphras (Colossiens 1. 7), Onésime (Colossiens 4. 9), Luc (Colossiens 4. 14), Philémon (Philémon 1, 16), Gaïus (3 Jean 1, 2, 5, 11). Les Juifs étaient bien-aimés à cause des pères (Romains 11. 28). Paul dit aux serviteurs que leurs maîtres croyants sont des bien-aimés (1 Timothée 6. 2).

|| Avoir de l’affection pour quelqu’un • Dans les versets suivants, le terme est litt. : l’aimé. Dieu a rendu les croyants agréables dans son Fils, le Bien-aimé (Éphésiens 1. 6). Paul s’adresse aux Colossiens comme à des bien-aimés (Colossiens 3. 12). Jude s’adresse aux bien-aimés en Dieu le Père (v. 1). Dieu appelle bien-aimée (Israël) celle qui n’était pas bien-aimée (Romains 9. 25 (2x)). Jérusalem est appelée la cité bien-aimée (Apocalypse 20. 9).