|| a. Objet • Jésus ne permettait pas que personne portât aucun vase par le temple (Marc 11. 16). Personne, après avoir allumé une lampe, ne la couvre d’un vase (Luc 8. 16). Pierre vit le ciel ouvert, et un vase descendant comme une grande toile liée par les quatre coins (Actes 10. 11, 16 ; 11. 5). || b. Récipient • Il y avait près de la croix un vase plein de vinaigre (Jean 19. 29). Le potier a le pouvoir sur l’argile pour faire de la même masse un vase à honneur et un autre à déshonneur (Romains 9. 21). Celui qui vaincra à Thyatire paîtra les nations avec un bâton de fer, comme sont brisés les vases de poterie (Apocalypse 2. 27). || c. Instrument • Paul était au Seigneur un vase d’élection pour porter son nom devant les nations et les rois, et les fils d’Israël (Actes 9. 15). || d. Corps, personne ; le corps était considéré par les Grecs comme un vase • Nous avons ce trésor de la connaissance de la gloire de Dieu dans des vases de terre (2 Corinthiens 4. 7). Chaque croyant doit savoir posséder son propre vase, c.-à-d. son corps, en sainteté et en honneur (1 Thessaloniciens 4. 4). Dieu a supporté avec une grande patience des vases de colère tout préparés pour la destruction (Romains 9. 22) ; il a fait connaître les richesses de sa gloire dans des vases de miséricorde qu’il a préparés d’avance pour la gloire (v. 23). Dans une grande maison, il n’y a pas seulement des vases d’or et d’argent (2 Timothée 2. 20). Si quelqu’un se purifie des vases à déshonneur, il sera un vase à honneur, sanctifié, utile au maître, préparé pour toute bonne œuvre (2 Timothée 2. 21). Les maris doivent demeurer avec leurs femmes selon la connaissance, comme avec un vase plus faible (c.-à-d. ayant égard à la nature féminine plus délicate) (1 Pierre 3. 7).