|| Rédemption éternelle de l’homme pécheur, obtenue par la repentance et la foi en la perfection du sacrifice de Jésus Christ à la croix • Ce si grand salut (
Hébreux 2. 3) est le salut de Dieu (
Luc 2. 30 :
sôtêrion <G4992><C4885> ;
3. 6 ;
Apocalypse 7. 10). Jésus Christ est le seul qui procure le salut (
Actes 4. 12) ; Dieu nous a destinés à l’acquisition du salut par lui (
1 Thessaloniciens 5. 9). Christ est le chef de notre salut (
Hébreux 2. 10), l’auteur du salut éternel (
5. 9). Dieu avait choisi les Thessaloniciens dès le commencement pour le salut (
2 Thessaloniciens 2. 13). Le salut vient des Juifs (
Jean 4. 22 ;
1 Pierre 1. 10), notre Seigneur étant issu de ce peuple ; il leur a été offert (
Luc 1. 77 ;
19. 9). Le salut est aussi offert aux gens des nations (
Actes 13. 26, 47 ;
16. 17 ;
28. 28 (
sôtêrion <G4992><C4885>) ;
Romains 11. 11 ;
2 Timothée 2. 10). La grâce, qui apporte le salut (
sôtêrios) pour tous les hommes, est apparue (
Tite 2. 11 ;
2 Corinthiens 6. 2 (2x)). L’évangile est la puissance de Dieu en salut à quiconque croit (
Éphésiens 1. 13 ;
Romains 1. 16) ; de la bouche on fait confession à salut (
Romains 10. 10). Le salut est vu comme quelque chose d’actuel pour les croyants (
1 Corinthiens 1. 18 (voir :
[OBTENIR 4]) ;
Philippiens 1. 28), le salut des âmes (
1 Pierre 1. 9). Sous un autre aspect, le salut est prêt à être révélé (
1 Pierre 1. 5), nous en hériterons (
Hébreux 1. 14), il est plus près de nous que lorsque nous avons cru (
Romains 13. 11) ; il s’agit du salut lors de l’enlèvement lorsque nos corps, en particulier, seront transformés : Christ apparaîtra à salut à ceux qui l’attendent (
Hébreux 9. 28). Dans le temps présent, le salut est une délivrance continuelle de la servitude du péché, une sanctification chrétienne (
Philippiens 2. 12 ;
1 Pierre 2. 3) ; la tristesse qui est selon Dieu opère une repentance à salut (
2 Corinthiens 7. 10). Le salut peut aussi désigner une délivrance temporelle (
Philippiens 1. 19). Le croyant est exhorté à prendre le casque du salut (
Éphésiens 6. 17 (
sôtêrion) ;
1 Thessaloniciens 5. 8). Pour l’incrédule, c’est maintenant le jour du salut (
2 Corinthiens 6. 2). L’affliction et la consolation de Paul étaient pour le salut des Corinthiens (
2 Corinthiens 1. 6). La Parole de Dieu peut rendre sage à salut par la foi qui est dans le Christ Jésus (
2 Timothée 3. 15). La patience de notre Seigneur est salut (
2 Pierre 3. 15). Jude rappelle à ses lecteurs le commun salut qu’il partageait avec eux (
v. 3). L’auteur de l’épître aux Hébreux était persuadé de choses meilleures et qui tiennent au salut pour ses lecteurs (
Hébreux 6. 9). En
Apocalypse 12. 10 et
19. 1, le salut est en relation avec la victoire sur Satan et sur Babylone.