|| Très grand désir, mais dans un sens négatif, de posséder quelque chose que l’on ne peut ou que l’on ne devrait pas posséder • Les convoitises étouffent la Parole de Dieu (
Marc 4. 19). Paul parle des convoitises du cœur (
Romains 1. 24), et des hommes qui se sont embrasés dans leur convoitise (voir 2. ci-dessous). Le chrétien ne doit pas obéir aux convoitises de son corps (
Romains 6. 12). Le N.T. mentionne en particulier la convoitise de la chair (
Galates 5. 16, 24 ;
1 Pierre 2. 11 ;
2 Pierre 2. 18 ;
1 Jean 2. 16). Le monde s’en va (on pourrait ajouter : à sa perte) et sa convoitise (
1 Jean 2. 17). La convoitise ayant conçu enfante le péché (
Jacques 1. 15).
Autres réf. : Jean 8. 44 ;
Romains 7. 7, 8 ;
13. 14 ;
Éphésiens 2. 3 ;
4. 22 ;
Colossiens 3. 5 ;
1 Thessaloniciens 4. 5 ;
2 Timothée 2. 22 ;
3. 6 ;
4. 3 ;
Tite 2. 12 ;
3. 3 ;
Jacques 1. 14 ;
1 Pierre 1. 14 ;
4. 2, 3 ;
2 Pierre 1. 4 ;
2. 10 ;
3. 3 ;
Jude 16, 18. (À noter : Le terme
épithumia est employé positivement trois fois dans le N.T. avec le sens d’un « grand désir légitime ». En
Luc 22. 15 : le Seigneur avait fort désiré – litt. : avait désiré avec désir – de manger la pâque avec ses disciples. En
Philippiens 1. 23, Paul avait le désir de déloger et d’être avec Christ. En
1 Thessaloniciens 2. 17, Paul avait cherché avec un fort grand désir à voir le visage des Thessaloniciens.)